vendredi 16 décembre 2022

Dharma

INTRO

C'est l'enseignement de Gautama Bouddha mais en langage moderne, c'est le résultat de l'étude de ses textes. C'est tel que je l'ai retrouvé. J'enseigne la méditation sur la vacuité, celui de l'anatta qui provoque l'éveil. Je n'ai pas une sangha comme Siddhartha, c'est la limite de la démarche. Ce serait anachronique. Tout ces imbéciles de sectes ont pignon sur rue, contrairement à moi, ils ont loisirs de diffuser la publicité de leur mensonge. Aucun médias ne les dénoncent quand ils ne donnent pas leur approbation, faites votre opinion par vous même, leur enseignement sont bidons ou inexistants par rapport au mien. Le gourou entraîne le servage psychique du patient, assujettissement à ses dogmes, à la parole du maître qui est merveilleuse, je ne vous demande aucun assujettissement à qui que ce soi ou à quelque chose. Le seul assujettissement qui existe est ce que vous comprenez, rien d'autre. Ces tibétains n'ont aucune réalisation, ils ne peuvent finir dans la parinirvana, ils n'ont pas le nibbana comme expliqué par moi ou Siddhartha, ceci est un mensonge, ces gens sont trés dangereux. Je vous propose le nirvana en une existence.

Transmission

La vrai transmission de maître à disciple est de comprendre par ses propres moyens ce qu'on vous tente de vous proposer, pas d'entendre la logorrhée de quelqu'un assis sur son fauteuil, pas d'essayer de comprendre le sens d'un texte, c'est indispensable parce que seul la personne concerné est capable d'agir pour elle-même. C'est une transmission orale pour que ce ne soit pas lettre mais l'esprit de la loi, pour que ce ne soit pas le mot mais le sens, pas celui de quelqu'un d'autres mais le vôtre, ce que vous avez compris, en ayant vérifié par vous-même. Les langues et les cultures évolueraient, la compréhension de l'être humain resterait toujours la même tant que vous pouviez être encore capable de faire votre avis.


Recherche scientifique

Être au présent c’est savoir que tout se joue à l’ultime seconde.

Mais c’est un sentiment éphémère, tout dépend si vous êtes capable de bien régler votre montre.

La sagesse c’est de la laisser tourner, sans chercher à comprendre son fonctionnement, cela viendra après naturellement. Car il faut laisser les choses se produire dans une position d’observateur ou mieux de complicité. Ne pas avoir d’idée sur son fonctionnement, vous permet d’ouvrir votre esprit à tout ce qui peut arriver, et le plus important à ce qui arrivera. S’il fallait que je crois qu’à ce dont j’ai conscience j’aurai l’esprit fermé, si je crois à toutes les émotions dont certaines sont crées par des notions réductrices de notre esprit, je me trompe. Il faut accepter de ne pas savoir, de ne pas avoir de réponses, ce qui ne dispense pas de chercher. Mais on évalue que ce que notre intelligence est capable d’évaluer. C’est pour cela qu’il faut chercher tous les cas ou cela n’est pas possible, tout en sachant qu’il n’y a rien à chercher et tout à trouver. En se rapprochant ainsi de l’instant présent, peut-être à l’ultime seconde vous aurez une réponse.

Distinction sujet objet

La science moderne occidentale est basée sur la distinction rigoureuse entre l'objet et l'expérimentateur. Nos perceptions, nos sensations, nos connaissances, notre attirance à la forme, nos formations mentales, ne sont pas distinctes de nous mêmes, si on suit leurs raisonnements elles sont faussent et ne sont pas valables, car elles ne correspondent pas à la rigueur de l'expérimentateur que le sujet n'influence pas l'objet. Le problème est que ces mêmes agrégats ne sont pas distincts de la réalité que l'on observe, car cette distinction dans la réalité n'existe pas. Imaginé que je détruise un verre sur une table, vous voyez des débris de verres qui semblent séparés entre eux, si je vous dis, ils sont encore dans la réalité, vous me dites évidement, oui mais c'est parce que dans la réalité tous les atomes sont liés entre eux, parce qu'ils sont insécables, car c'est une illusion de prétendre qu'ils sont séparés, et que ce que l'on observe est séparé du sujet. On ne peut pas disjoindre deux atomes parce qu'il n'existe pas de choses fixes, qui ne soient pas soumis au changement (hormis l'éveil et l'impermanence), les atomes sont impermanents comme nous-mêmes, pour la même raison on ne peut pas localiser un atome, ils se trouvent à deux endroits à la fois, parce que l'endroit lui même n'existe pas, pas plus que n'existe, le point, la droite, la courbe. Évidement tous ce qui n'est pas basé sur cette distinction entre sujet et objet devrait être faux d’après eux, ce qui enlèverait toute validité à une expérience spirituelle de la réalité, mais comme nous l'avons vu cette distinction est une illusion.

Bouddhisme

Les éléments qui constituent les agrégats de notre personnalité et son monde objectif sont dépourvus de substances intrinsèques. Nous n'avons pas d'existences propres, notre activité du système mental provient de cette ignorance, de cette croyance en un moi, en une substantialité, en une âme, ou tout autre élément indépendant. Il n'y a pas de substantialité, nous sommes non né, l'activité de notre système mental provient de la discrimination que nous faisons d'une chose qui est non né, de cette ignorance, du désir et des actes qui en découlent par le fait de percevoir, de saisir et de s'attacher aux objets comme s'ils étaient réels, comme s'ils avaient une substantialité alors qu'ils n'en n'ont pas. Le système mental qui en découle est source des écoulements mentaux par nos cinq sphères sensorielles et le mental, de mentations sensorielles. Il s'ensuit une aversion ou un désirs pour les choses et un attachement aux actes. Mais il échoue a comprendre ce qu'il voit, discrimine et saisit qu'une manifestation de sa propre activité et n'a pas d'autre base, et c'est ainsi que l'esprit continue de percevoir et de discriminer erronément les différences de corporalité, de qualité, sans rester tranquille ne fut-ce qu'une minute. Mais par cessation des mentations sensorielles, du système mental , on entend, non pas la cessation de leurs fonctions perceptives, mais disparition des souillures causés par l'esprit par l'attachement et des conséquences que cela implique, disparition des mauvais raisonnements. L'esprit mortel discriminant le monde de maya, l'illusion (comme l'absence de nature propre des phénomènes), et du désirs disparaît tout entier, le nirvana est de se débarrasser de l'esprit mortel discriminant.

Bouddhisme

D’après l'éducation nationale et nos amis les profs, la capacité d’abstraction mesure l'intelligence

J'ai peur que des choses ne soient pas à votre portée.


Mais je vous ai assumé la preuve.
Tetralemme
Seul ces 4 propositions sont exacts
Non X ni existant
Non -X ni inexistant
Non (X et -X) ni les deux
Ni X NI -X aucun des deux
Cela ne sert évidemment à rien :
Les cours de Terminal de philosophie sont conceptuels, comme la science et de croire à ces dogmes, la rhétorique, l'argumentation, la logique, sont des concepts, LA NOTION DE REPRODUCTIBILITE EST CONCEPTUELLE, tout étant impermanent, il ne se produit pas deux fois la même chose, ainsi la preuve se rapportant à soi-même est valable, c'est supérieur a une preuve scientifique car tout le monde à les moyens de vérifier par lui-même.
C'est comme cela qu'ils nient la preuve de l'expérience non reproductible en croyant au concept de l'abstraction. Le nibbana est un réalisation, cela veut dire que l'on peut le reproduire au contraire de ce que vous prétendez. L'instrument ne reproduit pas la réalité ce n'est qu'une mesure, au contraire de vous.



Nibbana scientifique(nirvana), la voie du surhumain.

Fait à partir des vœux de Bodhisattva.

Moi même.

Dans la réalité le résultat est toujours vrai, mais non observable, non quantifiable, non existant, non présent, car non permanent.

le principe d'incertitude est créé par la valeur de l'entropie. Le calcul de l'incertain est possible, tout est indéterminable dans le calcul d'un certain qui n'existe pas autant que la permanence, c'est le chaos, il y a toujours quelques choses avant et après, c'est le non-résultat comme la non-permanence. L'univers dans son agrégat a des valeurs impermanentes et déterministes.

Imaginé qu'avec une hache j'essaye de couper un rondin de bois en deux. Si les choses étaient éternalistes je n'arriverai pas à couper le rondin de bois en deux. Si les choses étaient nihilistes les deux rondins de bois disparaîtraient. Les deux rondins de bois sont coupés, ils ne situent ni ici ni là, ils ne se situent à aucun endroit sinon ils seraient éternels (permanents), ils ne sont pas séparés l'un de l'autre sinon ils n'existeraient pas.

L'impermanence est la vacuité simultanément plein et vide, elle est présente en tout non-point de l'univers. Elle est défini par le non-espace entre deux choses et la notion du temps qui est un ensemble vide. Sa présence montre l'écoulement du temps chaque fois que les choses cessent d'exister.

C'est la logique qui introduit l'erreur, dans la réalité le résultat est toujours vrai, mais non observable, non quantifiable, non existant, non présent, car non permanent. Dans un processus logique on attend un début et une fin, hors il n'y en n'a pas, c'est en introduisant ces constantes que l'on crée l'erreur.

Tout est vacuité et sans forme, vide de permanence, sans individualité, car sans temporalité, car impermanent. Le Je, le il, le vous, le nous n'existent pas, en vérité il n'existe que deux états le 1 et le 0 superposés, le présent et l'absent simultanément, le plein et le vide conjointement, car sans temporalité, car insécable et inséparable.

En fin de compte l'univers ne peut pas être permanent car le zéro n'existe pas, pas plus que le vide, s'il était permanent il y aurait rien à la place de quelque chose, hors nous sommes là et impermanent. Avec nos instruments nous l'étudions, grâce aux mathématiques et nos observations nous créons l'illusion de la permanence en un point en essayant de discerner les objets entre eux, mais le point et la droite censé les relier n'existent pas, cette permanence n'existe pas. L'absence n'existe que parce qu'il y a présence, hors aucune de ces notions n'a de réalité physique, parce que les choses sont par nature indéterminables. Elles sont ainsi parce qu'elles sont soumises aux changements, c'est pour la même raison qu'elles sont soumises a des causes et des conséquences, qui ne sont soumis à aucune notion de temps ou de distance. Pour qu'il y est notion de temps ou de distance, il faut qu'il est une notion de présence ou d'absence. S'il y a cause et conséquence cela veut dire qu'il n'existe aucune notion de séparabilité, il n'existe aucun constituant primordial de la réalité et aucune cause première, il n'existent que des causes déclenchantes, et des conséquences déterminables mais avec des résultats soumis aux changements, car il n'existe aucun système stable, la nature est par essence chaotique, mais assemblé en ordre par ces mêmes causes et conséquences, seuls l'existence de causes et de conséquences ont une réalité physique. Les distance et le temps n'ont pas de réalité physique. Ainsi la non-séparabilité induit le non espace entre deux choses car l'endroit indéterminable n'existe pas, pas plus que le temps qui est un ensemble vide.

C'est pour cela que le néant n'existe pas, c'est la notion de non-séparabilité. Ainsi on ne peut donner à la réalité aucune origine, un point ou les choses ont commencé, aucune individualité, c'est ce qu'on appelle une fausse idée, pas plus qu'à nous mêmes, nous n'avons aucune existence individuelle.



Tout se résume à cela pour réaliser le nirvana

  Quatre nobles vérités


-Tout ce que nous expérimentons est inconstant, la connaissance, le ressenti, les perceptions, les formations mentales, (les apparences immatérielles), la forme (l'apparence matérielle, le corps).


-Tous les êtres vivants subissent l'insatisfaction, la souffrance à cause de cela.


- La croyance que les phénomènes existent de façon isolés et autonomes sont causes de souffrance, ainsi que le désir et l'aversion.


-La quatrième noble vérité est celle du chemin menant à la cessation des souffrances. Ce chemin est


Le « noble sentier octuple » : vision correcte, pensée correcte, parole correcte, action correcte, moyen d'existence correcte, effort correct, attention correcte et concentration correcte


Est-ce que grâce au sens de la vue, est-t 'il possible de savoir ou se trouve l'image projetée sur ma rétine ? Se situe-t-elle à l'intérieur de moi, auquel cas pourquoi je ne m'en aperçois pas ? Sinon à l'extérieur, sinon pourquoi je ne puis pas la voir ? En vérité elle se situe nulle part, elle n'est que vacuité. De la même manière si je ressens du plaisir au contact d'un objet sur ma peau, le plaisir est-il en moi ? A l'intérieur, pourquoi je ne le situe pas ? Ou à l'extérieur, pourquoi ne puis-je le ressentir ? Les agrégats à travers les cinq sphères sensorielles, plus le mental, sont vides de soi, ils sont interdépendants et intriqués, ils ne prennent naissance et ne prennent fins nulles part, ils sont non nés, et non aucune localité, ils sont non individuels. Perception, ressenti, connaissance, formation mentale, attachement à la forme. Les agrégats sont des concepts. La perception est vide, le ressenti est vide, la connaissance est vide, les formations mentales sont vides, l'attachement à la forme est vide.


A cause d'une baisse de luminosité saisonnière parce que je perçois, je souffre à travers le sens de la vue, je m'identifie à ce que je vois, je souffre parce que je m'identifie a quelque chose d'impermanent, la baisse de luminosité. La connaissance est impermanente, l'attente, l'ignorance, et la souffrance que cela provoque, l'impermanence du su, de ne pas savoir ce qui va arriver, ou de pas connaitre de quoi il s'agit. Mon corps aussi est impermanent, coupable d'avoir créer une attache et de souffrir du mal être de ma forme en créant un soi. L'inconstance aussi par l'agrégat du ressenti, l'attachement à ce qui est plaisant ou déplaisant, quelqu'un qui s'attache à la nourriture en souffre par rapport à quelqu'un qui se contente simplement de manger et ne crée aucun mal être en ne s'identifiant pas à ce qu'il mange. J'aime ou je déteste des choses qui me font souffrir, car je projette mon mal être en l'identifiant à moi même, je crée des formations mentales qui n'ont pas de soi, et vouloir en définir un, est cause de la souffrance, car c'est vouloir créer une permanence qui est une création de l'esprit. La volition même qui implique un je, est une des principales base de la souffrance, crée des concepts qui nous rattache à une identification, alors que tout ce que l'on identifie à soi-même est cause de souffrance, car on s'identifie à quelque choses d'impermanent qui n'a pas de soi, comme souffrir du concept de la faute d'orthographe, au seul faite dans voir une.


S'approprier un je est la plus grande des erreurs, le sage sait qu'il n'existe aucune barrière entre les agrégats, et ne s’approprie pas au caractère transitoire de son ressenti, de ce qu'il perçoit, de la manière dont son inconscient incrimine ou discrimine, de savoir ou de ne pas savoir, de sa propre apparence physique, ne s'attache pas en créant l'illusion du caractère permanent des agrégats, car il sait que c'est cause de souffrance.


Un exemple de souffrance, vous dites à une personne que le message d'un éveillé a disparu, qu'il est presque impossible de comprendre ce qu'il dit aujourd'hui, au fil du temps par dissolution du sens de base de la langue d'origine, et par les déformations successives de l'interprétation de ce qu'il a dit. Vous voyez que la personne vous croit, et à de la souffrance dans son regard de savoir cela, c'est la souffrance créée par un des cinq agrégats, la connaissance. De ne pas savoir nous pouvons éprouver aussi de la souffrance, Il ne sait pas à quelle heure sera le rendez vous, il s'angoisse pour cela. Nous pouvons créer de la souffrance aussi par les formations volitionnelles, ce qui naît de notre inconscient. Nous pensons que, est le meilleur président, chaque fois que l'on dit du mal de lui nous éprouvons de la souffrance, parce que nous sommes attachés à notre jugement, notre inconscient qui juge et nous fait souffrir. De discriminer crée de la souffrance. Une personne s’insupporte de voir des fautes d'orthographes, que ce soi un problème ou pas, qu'il est raison ou tort, il a des écoulements mentaux que son jugement lui procure, il a des vagues de tristesses et ne parvient pas à garder son calme, parce qu'il s'attache à des concepts. Si nous sommes attachés à notre manque d'apparence, ou à notre apparence nous souffrons, seul agrégat physique. Ainsi une personne est coquette, elle se juge tellement en fonction de sa corporalité, forme, qu'elle souffre de cette soumission. Même si nous mangeons quelque chose, par le ressenti nous pouvons éprouver de la souffrance parce que nous sommes attachés à la nourriture, et le fait de ne plus en manger nous éprouvons de la souffrance, ou de trop manger aussi. Une autre personne ne se sent pas bien parce qu'il n'a pas fait sa séance de yoga hebdomadaire. Nos absences de perceptions créent de la souffrance, un excès de perceptions en créent aussi, un aveugle peut souffrir de ne pas voir, parce qu'il s'attache à ce manque. Ainsi nous sommes tous formés de ces cinq agrégats.


Le ressenti peut être plaisant, déplaisant ou neutre, c'est son attachement qui provoque la souffrance, la forme s'attache à la corporalité, la matérialité et les rapports que nous avons à notre corps, les perceptions peuvent être bénéfiques, mauvaises ou indéterminés et s'attachent aux états de consciences que l'on peut expérimenter, la connaissance s'attache à l'idée de savoir ou de ne pas savoir, les formations volitionnelles s'attachent aux concepts qui nous font croire à une dualité.


Tous ces actes contre nature procurent des perturbations mentales, à travers les cinq sens et le mental, une pensée juste, vision, action par une parole et un moyen d'existence juste, en s'établissant dans l'effort, la concentration, l'attention juste, par une parfaite compréhension des cinq agrégats mènent à l'éveil.


Parole juste : Ne pas bavarder sur internet dans la futilité, la mythomanie, l'imposture, comme sur nombre de forum bouddhiste.


Action juste : Ne pas propager de fausse parole ou inexact, au même endroit que précédemment.


Moyen d'existence juste : Qui ne porte pas atteinte aux êtres


Vision juste : Avoir une compréhension juste des phénomènes.


Pensée juste : Être libéré d'avidité, de haine, d'ignorance.


Effort juste : Vaincre ce qui est défavorable et d'entreprendre ce qui est favorable


Concentration Juste : Évité les perturbations mentales pour s'établir dans la voie


Attention juste : Attention à nos phénomènes mentaux à travers nos cinq sens et le mental


Nous percevons à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.


Nous ressentons à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.


Nous connaissons à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.


Nous nous attachons à la forme à travers, notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.


Nous expérimentons les formations mentales, à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.


Il ne faut pas confondre sagesse émise avec sagesse reçue, la sagesse est d'accepter les émotions sans si attacher, pas de les repousser ou de les garder en soi, les émotions ne se contrôlent pas. Méditer sert à regarder passer ses flux mentaux sans si attacher, on peut s'attacher à la forme, à son ressenti, à ses perceptions, à sa pensée, à sa connaissance. S'attacher à sa pensée, c'est s'attacher à des concepts. Une pensée n'est pas de deux, un corps n'est pas de deux, aucun agrégat n'est de deux, la somme des agrégats n'est pas de deux, nous ne sommes pas de deux.


Ce que nous percevons à travers notre regard n'est pas de soi.


Ce que nous percevons à travers notre touché n'est pas de soi.


Ce que nous percevons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.


Ce que nous percevons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.


Ce que nous percevons à travers nos oreilles n'est pas de soi.


Ce que nous percevons à travers notre mental n'est pas de soi.


Ce que nous ressentons à travers notre regard n'est pas de soi.


Ce que nous ressentons à travers notre touché n'est pas de soi.


Ce que nous ressentons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.


Ce que nous ressentons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.


Ce que nous ressentons à travers nos oreilles n'est pas de soi.


Ce que nous ressentons à travers notre mental n'est pas de soi.


Ce que nous connaissons à travers notre regard n'est pas de soi.


Ce que nous connaissons à travers notre touché n'est pas de soi.


Ce que nous connaissons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.


Ce que nous connaissons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.


Ce que nous connaissons à travers nos oreilles n'est pas de soi.


Ce que nous connaissons à travers notre mental n'est pas de soi.


Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le regard n'est pas de soi


Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le touché n'est pas de soi


Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le sens olfactif n'est pas de soi


Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le sens gustatif n'est pas de soi.


Notre attachement à la matérialité (forme) à travers les oreilles n'est pas de soi.


Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le mental n'est pas de soi.


Nos formations mentales que l'on se crée à travers le regard n'est pas de soi, (nos pensées)


Nos formations mentales que l'on se crée à travers le touché n'est pas de soi, (nos pensées)


Nos formations mentales que l'on se crée  à travers le sens olfactif n'est pas de soi, (nos pensées)


Nos formations mentales que l'on se crée  à travers le sens gustatif n'est pas de soi, (nos pensées)


Nos formations mentales que l'on se crée à travers les oreilles n'est pas de soi, (nos pensées)


Nos formations mentales que l'on se crée  à travers le mental n'est pas de soi, (nos pensées) 




Les pensées ne sont ni créées, ni détruites, elles sont vides, elles n'ont pas un départ ou une fin, elles n'ont aucune origine, ni aucune destination, elles sont vides de mien car inconstantes. Nos fermentations mentales sont vides de mien, nos formations mentales, notre mental est vide de mien. Notre corporalité qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstante. Notre perception qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstante. Notre ressenti qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstant. Notre connaissance qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstante. Notre mental qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstant. Non sommes impermanents, vides de soi, anatta.


Hors le fait de ne pas croire que nous sommes indivisibles de notre mental et de nos cinq sens est cause de souffrance, tous ces agrégats sont de natures non individuelles, ne pas les reconnaître comme tels est cause de souffrance, commencer à s'en rendre compte est le chemin vers l'éveil, le fait de croire à leurs absences de permanence cause de leurs absences d'individualités est le premier pas pour comprendre que le je n'existe pas, car il n'existe pas une essence de l'être humain indépendante.


la présence de l'esprit sur la respiration est à développer pour l'arrêt des pensées, la perception de l'inconstance est à développer pour le déracinement de la prétention 'Je suis


Est-ce que grâce au sens de la vue, est-t 'il possible de savoir ou se trouve l'image projetée sur ma rétine ? Se situe-t-elle à l'intérieur de moi, auquel cas pourquoi je ne m'en aperçois pas ? Sinon à l'extérieur, sinon pourquoi je ne puis pas la voir ? En vérité elle se situe nulle part, elle n'est que vacuité. De la même manière si je ressens du plaisir au contact d'un objet sur ma peau, le plaisir est-il en moi ? A l'intérieur, pourquoi je ne le situe pas ? Ou à l'extérieur, pourquoi ne puis je le ressentir ? Vacuité. Quand je prends connaissance de quelque chose, est-ce dans le présent ou déjà dans le passé, ou en me projetant dans le futur, le temps est vacuité. Mes formations mentales, mes pensées, sont-elles hors de moi pourquoi je ne m'en aperçois pas, ou en moi, pourquoi je ne les situe pas, elles sont vacuités. Comme notre attirance à la forme, notre matérialité est vacuité, notre corporalité, vide d'attribution d'un soi, car notre forme, notre corporalité est changeante, comme notre perception, notre ressenti, notre connaissance, nos formations mentales, ils sont vides d'attribution d'un soi, nous sommes vides d'attribution d'un soi, telle est la vacuité de notre être.


Éliminer la prétention je suis, ce n'est pas s’effacer devant les autres, ce n'est pas du tout cela vous savez qui se produit, il s'agit d'une erreur d'interprétation de votre part, assez grave.


On peut isoler les phrases hors de leur contexte et leur faire dire ce que l'on veut, comme si on interprétait faussement le titre de Sartre "l'enfer c'est les autres", voilà qui est une des bases du mensonge, qui c'est étendu jusqu'en en devenir le ridicule du bouddhisme d'aujourd'hui.


Alors les gens qui nous expliquent par des dissertations, que l'absence de désirs, c'est l'absence de vie, que donc que la théorie bouddhiste n'est qu'une démarche austère au but impossible, ils n'ont pas compris au contraire que l'absence de vie, c'est la souffrance. Elle naît de notre attachement à la forme, à la corporalité, matérialité, de l'attachement aux pensées, aux formations mentales, à la connaissance, ressenti, perception, à un moi, à je suis, qui n'existe pas, car nous sommes inconstant, soumis au changement, parce que nous mourrons, vieillissons, chaque jours, que c'est ce moi qui provoque nos désirs, et notre renaissance et notre souffrance perpétuelle.


Ainsi l'ignorance crée les formations mentales, la connaissance des agrégats en utilisant les six sphères sensorielles, s'établit par le contact, la sensation, la soif, l'attachement, qui crée le devenir, naissance, vieillesse et mort.


La fin de l'ignorance, le nibbana, provoque l'arrêt de la pensée et des écoulements mentaux provoqués par les désirs, et donc de la fin de la souffrance, de la soif, de l'attachement, du devenir.

Pour faire cesser le je, ils faut avoir conscience de la souffrance, méditer sert à cela, à l'identifier, à comprendre qu'elle surgit à travers notre sphère sensorielle et notre mental, chaque que nous percevons, nous ressentons, nous connaissons, nous nous attribuons un mental, une volition, nous nous approprions un corps, en faisant essence d'un je alors que nous sommes anatta, impermanent, changeant car vieillissant et mortel, de nos cinq agrégats naissent les désirs et donc l'appropriation, l'absence de je fait cesser la souffrance.



Nota bene : Notre attirance à la forme est notre corporalité, comme on est attiré par une belle jeune fille, d'où vœux de chasteté.


Ceci est la méthode pour réaliser l'éveil, le nibbana, le nirvana, le sans souffrance, le sans mort. C'est largement suffisant.

 

Songe

Une des meilleurs méthode pour progresser est de créer des phrases pour saisir la signification des mots et pas de définir des mots pour expliquer des phrases. A l'inverse de la première, la seconde méthode n’apporte rien en tant qu’écrivain ou philosophe mais elle a fait l’éloge de l’éducation nationale.
De toute façon cela fait longtemps que je n’écoute plus personne et sûrement pas eux. Débiter des conneries et en être satisfait est le passe temps préféré de l’espèce humaine. Combien de personnes ont essayé de me convaincre que ce qu’ils disaient étaient intéressants, ils n’ont toujours pas réussi.
La création d’un mot quel qu’il soit est un travail de projection, l’inconscient collectif ou individuel joue un rôle prépondérant. La représentation de soi même et des autres, du monde, notre culture structurent et modèlent notre langage. L’être humain a été obligé de définir les choses pour communiquer, en cela il en a restreint sa propre compréhension du monde. Soit, il a pu créer des raisonnements et tout un logos, mais c’est en restant le plus souvent dans le cadre des définitions qui étaient admises. Certains grands esprits ont voulu dépassé cela car communément nous mettons des limites là ou il y a n’en pas. Ils sont rentrés la plupart du temps en conflit avec la culture de leur époque.

La voie de son maître

Faire de la philosophie en terminal c'est faire appel à une culture et un savoir que l'on n'a pas. Il n'a jamais été question de réfléchir par soi-même mais de réfléchir à travers les idées des autres, et de vouloir en faire une sagesse, parce qu'on est capable d'avoir 16 en dissertation de philosophie, ou alors on considère que les BHL et PPDA sont des sages alors que nous avons à faire qu'a des outres remplies d'égotisme, que la philosophie s'affiche comme l'histoire des idées, soit (enfin si on considère que l'occident pour le reste vous êtes d'une ignorance crasse), mais qu'elle prétend enseigner une quelconque sagesse permettez moi de doucement rigoler. Savoir manipuler des concepts avec une certaine logique, ne débarrasse de l'illusion que cela peut créer en nous, mais souvent ne font que renforcer cette illusion, les faites sont que les profs de philosophie sont plus dans le second cas que dans le premier, parce qu'ils sont banalement humains, c'est la valeur de la personne qui compte plus que ces capacités mondaines, alors les beaux discours sur la morale de nos bons philosophes laisse toujours un goût amer à une personne comme moi, on se rapproche plus du cynisme d'une classe politique dont Voltaire est un bon exemple, encensé par nos thuriféraire du Nouvel Obs. On est toujours que la voie de son maître.

La pensée animal

Les scientistes et la pensée littérale animal (cette lecture est contre-indiqué a un zététicien)

Donc d’après nos amis scientifiques les animaux ne pensent pas mais il ont des désirs, voilà une chose remarquable une chose qui ne pense pas mais qui a des désirs. Prenons l'exemple de l'être humain, une belle femme passe devant vous, vous avez des désirs. Est ce que c'est parce qu'à cause que vous avez vu une belle femme que vous avez des désirs, ou parce que vous avez crée en en vous le désirs en ayant vu cette belle femme ? Donc si je m'abuse si on croit le second cas, c'est que vous avez eu une pensée à la base, alors prétendre qu'un animal qui a des désirs comme nous n'a pas de pensée à la base, allons soyons sérieux, je suis sur que tous le monde aura compris ce cas.

L'attachement

Dès que l'on s'attache a un moi on crée des illusions, l'attachement a un ego fait souffrir, la dissipation de l'ignorance créé par l'attachement en un moi est au cœur de l'enseignement d'un éveillé. C'est l'attachement qui crée les désirs, l'appropriation a un moi et la souffrance. Détruire l'illusion du moi et l'égo qui sont des créations de l'esprit c'est retrouver le chemin de la vérité altruiste et de la compassion envers toutes les créatures, c'est la destruction de toutes les haines et de tous les désirs qui font souffrir. C'est retrouver le calme de l'esprits et la destruction de toutes les fermentations mentales, tous les remugles de l'être sont dissipés, l'envie de soi qui pousse aux folies de l'être sont détruites.

Inquisition scientifique

Il n’y a pas si longtemps nous vivions sous l’inquisition religieuse, maintenant nous vivons sous l’inquisition scientifique, la science ni des choses parfaitement vrais sous prétexte qu’elle ne l’a pas démontrée, alors que ce sont des choses parfaitement réels. Elle veut imposer son point de vue sans aucune discussion possible, rejetant ce qui s'oppose à sa raison sous le terme de croyance, de superstition, jusqu’à traité la personne d’affabulateur ou de fou. L’existence des rêves lucides en est un parfait exemple, il n’y a pas si longtemps le consensus scientifique rejeté l’existence de ce phénomène sous prétexte que la science ne l’avait pas démontrée, alors que des tas de personnes de bonnes fois l’avaient expérimentés et connaissaient la réalité du phénomène. Le consensus scientifique rejetait ce genre de choses aux niveaux des affabulations, avec mépris et condescendance. Jusqu’à qu’une personne arrive a prouver qu’elle était consciente pendant son rêve, par des mouvements oculaires qu’elle avait au préalablement définit auprès de l’observateur de l’expérience. Il en est ainsi de tas de choses qu’expérimente le sage qui sont parfaitement vrais et qui ne peuvent pas être démontrés par une expérience scientifique parce qu’ils ne peuvent être dans la réalité de ce qu'expérimente la personne. Est-ce des choses forcément fausses non évidement, comme nous l’avons vu, mais le sage lui sait ce qui est du domaine de la vérité. A l’inverse du scientifique borné qui se réfugie dans le discours dogmatique de la raison scientifique, qui essaye de fournir des explications à tous les phénomènes, même quand il en n’a pas les moyens dans fournir, se transforme en censeur et en juge de ce qu’il ne comprend pas comme autrefois la religion, qui au lieu de reconnaitre son ignorance essaye d’imposer son ignorance.

Karma

Le karma n'est pas quelque chose de tangible et immuable, il n'y a aucune fatalité. Beaucoup de nos traumatismes datent de la petite enfance comme l'a dit Freud, ou de nos vies antérieurs comme l'aurait dit bouddha. Si nous avions assez de sagesse, il serait possible de revoir et de corriger l'endroit ou n'en avions plus, nous empêchant de commettre les mêmes erreurs dans le futur. Nous sommes identifiés à l'enfant qui est en nous c'est la base de la psychologie, c'est aussi à cette époque que nous sommes le plus proche de bouddha, parce que par nature l'enfant n'a aucun filtre. Il ouvre les yeux au monde dans sa pureté, sa naïveté et son innocence. L'image de nous même est identifié a ce que nous étions enfant. C'est ce que l'on appel une empreinte karmique, elles existent tout le long de nos existences, mais elles peuvent être modifiés. L'image dont nous nous considérons dépend ce que nous avons vécu, il ne peut en être détaché.

Eveil

L'éveil est l'inconscient de toutes créatures vivantes. L'éveil s'est avoir conscience dans l'équanimité, la compréhension juste des phénomènes mène à cela. Tout est équanimité parce que tout est égal, on ne peut pas mettre de différences entre ce qui et ce qui n'est pas. Tous les êtres sont égaux entre eux, parce qu'ils sont vides d'existences propres. C'est parce que tous cesse d'exister qu'il n'existe rien en tant que tel. C'est pour cela que la volonté d'exister en ce que l'on s'approprie un devenir ou une existence autre qu'être naturellement ce qu'on est, un être doué de compassion car reconnaissant la strict égalité des êtres et la sienne, on se condamne à une nouvel existence.

Caverne

Je vais vous racontez une histoire, c’est l’allégorie de la caverne, des gens étaient attachés avec une chaîne dans une grotte avec un feu et croyaient que leurs ombres reflétés sur la paroi par le feu correspondaient à la réalité, un jour un des prisonnier s’est libéré, puis est allé à l’extérieur de la grotte. Il est revenu pour raconter aux prisonniers ce qu’était en vérité la réalité, la plupart l’ont pris pour un fou, quelques un l’ont cru et se sont libérés. Quelques temps plus tard des prisonniers ont écrit un livre sur cette histoire, l’ont lu et cru distinguer sur les ombres de la paroi de la grotte ce qu’avait vu le libéré à l’extérieur, ainsi certains disaient qu'il était inutile de briser ses chaines parce qu’ils voyaient la réalité a travers les ombres. D'autres  au contraire affirmaient dès qu'ils avaient vu la réalité des ombres, ils avaient pu se détacher. Parmi eux il y en avait même qui soutenaient que si on ne voyait pas cette ombre on devenait fou, on finissait avec ce qui étaient au fond de la grotte, ce qui n’avaient pas de feu.
Mais ailleurs dans une autre partie de la grotte qui n’avaient connu cette histoire que récemment, ils affirmaient qu’on ne pouvait pas briser ses chaines, par contre ils connaissaient ce qu’ils appelaient les porteurs de lumière, car ils leur avaient permis de faire un plus grand feu et de voire de plus belles ombres. Leur chef avait découvert que l'ombre porté sur la paroi était lui, ce qu'il lui avait fait dire cette phrase mémorable, je suis.
Ainsi depuis la rencontre des deux peuples, ils continuent ensemble à regarder fascinés les ombres sur la paroi affirmant c'est la réalité.

Le chacal

Le sage cherche tout sauf à être célèbre, c'est contraire à la démarche et au dharma, c'est un handicape pour réaliser l'éveil, on se doit au dharma à rien d'autres, celui qui a tous les honneurs et qui n'est plus satisfait de rien, a la gale comme le chacal qui rode la nuit, quelle que soit la manière dont il se tient, il se sent mal.

Tout ce l'on peut dire

Agrégat : Votre soumission au cinq agrégats donne la justice et l'égalité de tout les êtres.

Intelligence

L'intelligence ne dépend pas de capacités mondaines, en littérature, en mathématique, en musique, en argumentation, ou je ne sais quoi d'autre, mais que vous ayez de la jugeote ou que n'en ayez pas, c'est cela que vous ne comprenez pas.

Anatta

Je souffre parce que j'attribue un soi alors qu'il est non existant.

Vide de toutes conceptualisations

Nos pensées sont vides d'attributions d'un soi, parce ce que conceptualiser les êtres, les choses, les objets, c'est créer l'illusion et les mirages des concepts qui dualise la réalité et fait croire aux chimères de ces mêmes concepts grâce à l'argumentation et la logique, alors que la réalité n'est que vacuité, vide de toute attribution, vide de toute conceptualisation.

Pensée

Toute pensée en induit une autre, de quoi pouvez-vous avoir conscience, de ce mécanisme ? Vous êtes sous influence de votre pensée vraie ou fausse et de celle des autres parce que personne ne peut se dissocier de son environnement. L’individualisme que l'on vous vend est un leurre ce n’est pas un homme libre. J’ai la chance d’avoir fait disparaître toutes pensées de mon esprit parce que j’ai pensé juste. J’ai pris un bout de liberté pour pouvoir faire un pas de coté et mieux vous regardez. Nous sommes indissociables des autres, nos destins sont liés à tous les êtres humains. Même avec la nature nous avons un lien, bien que ce ne soit plus tout à fait le cas aujourd’hui. Tous cela forme le Karma, chose très complexe à expliquer. Chaque particule de matière interagisses entre elles, il en est de même pour nous chaque fois que nous avons une relation amicale ou non avec quelqu’un, nous décidons autant pour nous que pour lui. Car tous les liens tissés avec les autres forment le karma, ainsi la place du soi est si infinitésimale qu’il n’existe pas. Je sais avec de pareil propos il y a quelques ordures qui n'ont rien trouvé de mieux que de balancer des types sur des porte-avions. C’est justement le contraire, le destin de l’autre est entre nos mains ainsi il faut considérer comme nous même, évidemment si nous sommes suicidaires. Cela est justement possible parce que nous sommes tous pareils, nous avons la même origine, nous avons étaient tous été des enfants et il est toujours en vous, différent selon la personnalité de chacun, mais semblable dans leur sagesse. Bien que la raison soit commune elle nous sépare, entre individus, civilisations, car être fou c'est la création d'une souffrance injuste, et cela nous y arrivons très biens. Le seul soi qui existe est notre responsabilité dans nos pensées et nos actes, le Karma est la conséquence des deux, il est autant individuel que collectif. Et franchement, je n’envie pas le destin de certains de ceux qui nous gouvernent, parce qu’agir sur le destin du monde s’est attiré les conséquences qui en résultent.

Fidélité

C'est immoral de tromper son époux, il ne s'agit de vous faire la morale et que vous pouvez toujours prendre conscience de vos actes, vous pouvez toujours trouver un cas ou cela ne fonctionne pas, et à part trouver des justifications, tromper celui qui vous aime, c'est grave.

Destin

Vous croyez que je vais vous remerciez pour les agréables existences que j'ai passé, tout cela est théorique, ils ne sont plus là pour en parler, ils sont aux mieux des fantômes, on renaît c'est certains mais dans pas grand chose, une vie humaine est un exploit. Vous pouvez finir au paradis ou en enfer, en animal, mais vous aurez peut-être un jour une vie humaine.

Voie

Vous pouvez après avoir lu mon blog et compris, prendre les textes de Siddhartha et suivre son chemin, chacun est libre de faire comme il veut. C'est un maître qui est sévère mais juste, vous n'en trouverez pas de meilleurs.

L'Idolâtrie

Vous cherchez un phénomène sectaire, un maître à penser, l’idolâtrie est proportionnelle à ce que vous pensez de vous même, comme vous ne pensez pas très haut, cela ne va jamais bien loin.

Intelligence

C'est comme quelqu'un qui a appris sa leçon, il répète bien. La répétition est la base de la logique qui explique tout, ah ! c'est ce qu'ils disent. La vrai foi n'a pas besoin d'écrit, d'image, de papier, d'informatique, de statue, en avez-vous conscience ? Même de par cœur.

Arhat

Un arhat est un Saint, mais je sais cela est difficilement acceptable, on vous demande de ne pas y croire, on vous montre que c'est possible, pour celui qui est déterminé à faire les efforts. Si le but est soi-même cela ne fonctionnera pas, c'est une évidence.

Toutes vos protestations ni pourront rien

La religion n'est pas une morale inventée, quand on est gardien de prison, on ne peut pas suivre le Dharma.

Réalité

C'est parce ce qu'il y a des éveillés que notre réalité existe, sinon elle n'existerait pas, il n'y aurait pas de création.

L'instant n'existe pas

L'endroit est toujours le même, il n'y a qu'une réalité, les choses se produisent au même moment, on ne peut séparer les instants, le temps est par conséquent un ensemble vide, ce qui est et su est connu au même instant.

Réalisation

Le nibbana c'est faire le bien pour soi-même, c'est pour cela que l'on dit que c'est une réalisation égoïste, diffuser le message du bouddha ne l'est pas, et aider son prochain pour qu'il soit un réalisé, un sans souffrance et qu'il est mis fin à son devenir.

Les ignorants

Ils croient a des concepts qui n'ont pas de réalité, ce sont des mirages, des illusions, par le domaine de la logique, de la rhétorique, de l'argumentation, qui contredisent la réalité, la notre, celle de nos agrégats, et et de l'univers dans sa conception, qui sont vides par essence de toute individualité. Ils s'illusionnent de leur conception, argumentent dessus, développent des idées, s’attribuent une individualité, la défendent, tout en ne comprenant pas qui sont libres de choix dés le départ, celui de décider ou de ne pas décider ce qu'ils pensent, ce qui motivent leurs actes, dont celui de penser qu'on existe par essence, en effet il ne ne s'agit de dire que l'on n'existe pas, mais de comprendre que le je n'existe pas, l'individualité n'existe pas, c'est en effet de comprendre que nous faisons parti d'un tout qui tient compte de tout le monde, et que nos actes sont réels quand nous décidons d'être le bien ou le mal, et les conséquences, aussi.

Bouddha et les enfers

Allez je ne vais pas vous dire qu'à partir des cinq agrégats, toutes vos pensées et émotions négatives se transforment en cauchemar en enfer, vous croyez parler a un ami dans les rêves alors que vous parlez a un démon en enfer, laissons la race des impies et des imbéciles ou ils sont.

Rien

Vous savez en fin de compte il n'y a rien. C'est juste la matière qui s'organise en ordre, le sommet est les éveillés. 

La philosophie branlette de l'école

Discourir auquel on ne retient rien de concret (les esprits lucides vous diront c'est la meilleurs solution) qui a autant de valeur que du bavardage.

Bikkhu

Un bikkhu ne condescend pas aux honneurs, c'est source de souffrance, de mal être.

Bidon magazine et les ignorants

Dans bidon magazine, il devrait expliqué ce qu'est le canal droit et le canal gauche, l'un est froid, l'autre est chaud. On s'en fou un peu, parce que cela n'a pas beaucoup d'importance, mais vous êtes les ignorants, cela devrait être accepté par tout le monde. C'est pour cela aussi que c'est plaisant, vous m'emmerderez pas avec des trucs débiles. Ici on s’intéresse au dharma.

Triste

La vie en société n'est pas convenable pour un bhikkhu, il ne doit pas suivre les communs mauvais comportements de votre vie en société, il se doit de suivre le dharma.

Objectif

On est fou parce que l'on est soumis au cinq agrégats qui nous fait injustement souffrir parce que l'on croit au concept du Je. Quand à la bêtise de toutes créatures, elle est attaché au croyance d'une civilisation qui est aujourd'hui mondial, pour notre cas la science développe des croyances même si elle se veut exact et rigoureuse, récemment on croyait encore à l’éther.
La connaissance du dharma ne développe aucune croyance, ce qui est à la base de la science c'est la preuve, par l'expérimentation, la mesure, la fait-on correctement ? A contrario, en ce qui nous concerne, notre base est nous même, ce que nous ressentons est commun, nous n'avons pas la question a nous poser la question, elle est placé sur des faits objectifs, notre souffrance.

Ce que vous êtes

Imaginez que j'aille exposer le dharma dans une salle, 90% riraient comme des idiots, si c'est le Dalai lama, bien entendu. Vous comprenez cela dérange, leur certitude, ce qu'ils pensent, cela les met mal à l'aise, et comme ils sont lâchesParce que sur le fond, cela ne va jamais bien loin.

Tragique

Toute personne qui se croit au dessus de la nature humaine, en fonction de sa soi-disant race, sa soi-disant classe,  sa nation, sa civilisation, se trompe.

Tristesse des idiots

Toute notion religieuse ayant disparu, ils ne se sont pas rendu compte que la dissertation de philosophie dans sa conception même donne le pouvoir de faire le bien et le mal. D'ailleurs c'est ce qui a remplacé la religion à l'école et dans vos esprits.

Différence essentielle

Etre bon en math, en français, en musique ou je ne sais qu'elle autre valeur mondaine n'implique de faire le bien, le savoir d'un bouddha si.

Discriminer

Je vous dis le ciel est beau, c'est une sensation par l'agrégat du ressenti, en utilisant la vue, mais je ne peux pas l'individualiser, car elle n'appartient pas à moi même, en effet ce n'est qu'une illusion, un reflet, un mirage, quand j'essaie individualiser ce que j'ai ressenti, mais ce n'est qu'une illusion de vouloir faire soi ce qui ne peut pas être discriminer. Créer des concepts à partir de chimères en est une autre, car la pensée non plus ne peux pas être discriminer.

Les animaux

Un insecte ressent la peur, l’étonnement, la tristesse, a des émotions comme n'importe quelle créature vivante, même une moule. Sinon pourquoi pensez-vous que l'on ne peut pas renaître en Blatte, de plus un insecte a une courte vie. Georges Bush peut très bien faire une mouche, mais il ne faut pas la tuer. J'ai surement plus de vie d'être humain que vous, ce qui fait la difference.

Bouddha

La méthode de Siddhartha était sur la perception, la méditation, moi sur la formation mentale, les formations volitionnelles, ce qui est implanté dans le subconscient, la pensée.

Karma

Ceux qui ne pourront être des Bodhisattvas et un jour être convaincu par un bouddha, seront arhat ou sotapanna.

Education

Une des choses que l'on devrait expliquer aux enfants, c'est de prendre conscience qu'on a une idée. C'est la curiosité.

Échéance

Je n'ai pas résolu le faite que certains n'y arriveront jamais, il faut être convaincu par bouddha pour être un bouddha, il faut être convaincu par les enseignements d'un bouddha pour être un arhat, il y en a qui ne seront convaincu par aucun des deux.

Discipline

C'est la même chose, que quand on vous dit de ne pas regarder les autres en train de méditer, le maître peut évidemment regarder si vous le faites bien.

L'idole

L'immoralité de vous tous c'est cela votre problème, n'allez pas chercher exemple sur vos "grands hommes", grandes figures, regardez vous-même.

Le sage

La vie crée des injustices, comme être une femme ou un homme, il y a des rapports de sexes, de pouvoirs, de dominations, avec le même talent et le même travail, le fait d'être une femme, la reconnaissance ne sera pas le même, comme le fait d'être riche ou d'être pauvre ne vous donnera pas les mêmes chances dans l'existence, la vie est une injustice, par difference, de sexe, d'argent, de culture, d'éducation. Le dharma ne crée aucune distinction, le sage n'a besoin de personnes, et n'obéi pas à la loi de votre société.

Karma

Une tortue qui passe au hasard son cou dans une bouée, en sortant dans un endroit au hasard dans les mers du globe, sur le fond vous vous attendez à quoi de renaître en tant qu'être humain, les chances de rencontrer un bouddha pareil.

Eveil

Il m'a fallu 17 ans pour trouver une méthode efficace pour réaliser l'éveil (celle de Siddhartha), j'ai pris le chemin le plus long, il vous faudra peut-être 3 mois pour réaliser l'éveil (cas exceptionnel), c'est le même, seul l'absence de connaissances fait la difference, et de pouvoir mener les gens à l'éveil. C'est l'apprentissage et le vécu qui compte.

Dharma

On aurait reproché à Siddhartha de ne pas être l'ainsi venu, s'il avait vécu dans une maison massacreur d'insectes ou s'il avait coupé un tubercule en frite, moi on s'en fou.

Bouddha

Pas sur que vous méritez grand chose, le fait que vous deveniez arhat change la donne. Même ceux qui deviendront bodhisattvas.

Si vous êtes sérieux et avez une bonne moralité vous deviendrez un arhat ou un bodhisattva.

Nietzsche avait une raison dans tous ses délires, seul un surhumain avait a les ressources. Seul moyen de réaliser le nibbana par la science.

Tout Bouddhas ont les compétences pour vous menez à l'éveil, c'est une occasion unique. Ceux qui aiment la tradition pourront redécouvrir les sutras de Siddhartha.


On peut égaler un surhumain ou en devenir un mais pas le dépasser, c'est impossible.

Ils jugent l'intelligence sur un phénomène répétitif, la logique, qui est une capacité de discernement, est ce que la réalité est un phénomène répétitif ? Pas du tout, par exemple, les chiffres n'existent pas vraiment, ce ne sont que des concepts, c'est évidement une illusion. C'est bien le discernement qui juge de votre intelligence, mais pas celui que vous croyez. 
Dieu s'il existait appui au hasard sur les touches du piano, mais c'est déterministe car les causes et les conséquences le sont. Car notre action, notre karma, ce qui nous fait agir, qui lie nos actes et notre souffrance, crée causes et conséquences, est déterministe. En effet il n'est pas possible d'attribuer une identité individuelle à nos actes, notre karma, le discriminer, et non plus l'extraire de son environnement, c'est ce que prétendrai l'expérience scientifique, en cela elle est fausse, la réalité est chaotique, soumis à l'entropie et déterministe. Scientifiquement nous sommes au niveau de la décohérence de vouloir attribuer une réalité individuelle.


Karma

Nous sommes des mouches, nous avons une courte vie, pour réussir ce que nous avons à faire.

Transmission

Vous n'avez peut-être pas tout saisi, il faut du temps pour saisir, assimiler et comprendre, et enfin admettre, cela ne passe que par votre propre vérification, c'est ce qu'on appelle une transmission. Il n'y a bien entendu pas de méthode.

Authenticité

Un arhat ne serait pas exempt de fautes devant la célébrité, cela remettrai en cause son authenticité, c'est une faute grave.

Esprit

Nous suivons notre pensée et ce qu'il en reste la plupart du temps, pas quelque chose de très lucide. C'est comme suivre un chemin et ne pas voir ce qu'il y a autour, et en ne distinguant pas les tournants.

La folie des sectes

Le plus accessible pour y arriver est quand même de méditer sur des cadavres, la dernière fois cela c'est mal passé, vous comprenez si vous avez le public des sympathisants et des admins de la secte du forum l'arbre de Refuges, c'est la morbide anecdote de SiddharthaVous comprenez que le métier de Bouddha est très dangereux, et des dingues vous feront perdre la raison. Mon opinion est qu'il n'avait pas le choix, ils l'auraient tué à un moment ou à un autre.

Karma

Je suis Bouddha car je n'obéi pas à l'ordre établi comme vous, je sais c'est ce qu'il y a le plus difficile à comprendre pour les esprits bêtes.

Soyons clair

Il y autant de femmes Bouddha ou arhat, il n'y a pas ce rapport social de domination, de pouvoir, sexuel, dans le dharma, qui font que dans la société, il y a moins de femmes écrivaines, chercheuses...etc, le dharma n’en-terrine pas l'injustice de votre système social et vous emmerde.

Karma

Siddhartha délivrait par la perception, moi par les formations mentales, on peut être délivré par la corporalité, le dégoût du corps, par le ressenti, ce qu'on éprouve, par la connaissance du dharma, il faut qu'il est existé toute une culture.

Dharma

La femme qui veut nourrir son enfant qui dispute un poisson à un chien dans les sutras, son ancien ennemi est son enfant, le poisson a été son père dans une autre vie, le chien son enfant, c'est l'insanité du karma, Bouddha est face à cela si vous le comprenez.

Commerce du dharma

Du travail, de la difficulté, ce n'est pas de la littérature loisir, comme Matthieu Ricard ou chez nos pseudos "philosophes" des médias (voir la grande librairie), ce n'est pas vendable.

S'engager

S'engager dans la voie est une décision, ceux qui en font une obligation vont à l'encontre du message de Bouddha, personne ne décide ce qu'il y a dans votre tête.

Véridique

Celui qui suit mes enseignements est mal barré car c'est difficile, oui. Cela demande beaucoup de travail et d'attention.

Voeux

Un arhant ne fait pas de métier qui porte atteinte aux êtres, il ne fait pas gardien de prison, juge d'applications des peines, psychiatre ou ministre de l'intérieur.

Les singes

Quand des chercheurs ont posé les trois problèmes suivants à 3400 étudiants aux USA, seuls 17% ont répondu correctement aux trois. Pourrez-vous faire mieux ?

1) Une raquette et une balle coûtent 1,10 euros au total. La raquette coute 1 euro de plus que la balle. Combien coûte la balle ?
2) S'il faut 5 minutes à 5 machines pour faire 5 bidules, combien de temps cela prendra à 100 machines pour faire 100 bidules ?
3) Dans un lac, il y a un nénuphar. Tous les jours, le morceau double de taille. Si cela prend 48 jours au morceau pour recouvrir le lac en entier, combien de temps cela prendra au morceau pour couvrir le lac de moitié ?

http://www.charlatans.info/intelligence-et-qi3.php

Concrètement comprendre un énoncé abstrait serait l'intelligence, ce qui n'ont aucun vocabulaire mathématique, cas des mauvais en maths, seraient des imbéciles, alors que la personne qui achète une raquette avec une balle ne se trompe pas, pareil pour celui qui met en place des robots, ou celui qui regarde les nénuphar envahir le lac, par-contre celui qui ne comprend pas l’énoncé abstrait serait un imbécile et le contraire. Les scientistes qui définissent l'intelligence par la capacité d'abstraction, les singes, de la planète des singes nous fatigue, avec ces exemples débiles de l'intelligence pour débiles, qu'il suffit de s’entraîner à l’exercice de l'abstraction pour être bon et soi-disant intelligent, qu'il faut être crétin pour penser que savoir compter des nouilles c'est être intelligent, comme un singe.

Soyez lucide

Tous ces types le Dalai lama ou autres c'est gravement bidon, un bodhisattva ne recherche pas la célébrité, c'est source de frustrations de choisir les honneurs comme le chacal qui a la gale, cela remet en cause son authenticité, bref ce n'est pas le Dalai lama, soyez lucide pour une fois.

Nirvana

Le samsara n'est pas différent du nirvana, parce que nous sommes toujours la même personne, bien que nous soyons différents, en vérité nous sommes tous pareils, nous avons tous nature de bouddha, c-a-d que nous pouvons tous réaliser l'éveil, cela ne veut pas dire qu'il ne sait pas passé quelque chose, nous nous approprions plus rien, nous ne souffrons plus et n'avons plus de désirs, telle est la réalisation.

Triste décadence et illusion du faux dharma

Siddhartha n'a pas parlé dans les sutras du deuxième véhicule pour nier ce qu'il avait dit précédemment, dans le premier véhicule, seul les imbéciles pensent cela.

La république des profs

Ils ont du réfléchir cinq minutes alors que j'ai passé une vie. On vous demande cinq à dix minutes, pour faire le plan et au moins l'introduction, avant de commencer une dissertation, c'est dans les temps. Vous comprenez il y a une échelle des valeurs, il serait temps que vous la respectiez.

Les ignorants

Prétendez-vous résumé l'expérience du dharma à un test, il n'y a pas de preuves de l'éveil, prétendez-vous résumé l'expérience de l'intelligence par n'importe quel test, vous êtes des imbéciles et vous méritez de l'être, l'intelligence d'un Bouddha ne se mesure pas, résumé l'intelligence à un test, c'est croire à des concepts, croire à cela, c'est croire à une illusion mentale. Il y a des parfaits imbéciles qui ont réussis leurs études.

Univers

L'univers est à la fois infini et fini, c'est une ligne droite qui se rejoint par les deux bouts, c'est pour cela qu'il nous apparaît plat, mais c'est une illusion.

Nibbana scientifique et nibbana

La sagesse des formations mentales, et de ne pas croire en la logique, mais il y a bien une logique, celle du nibbana scientifique, l'absence de nature individuelle de la réalité et des êtres, qui mène au nibbana scientifique. Le nibbana est l'absence de nature individuelle de soi-même, une fois qu'on a défini les agrégats.

Jataka

Si vous comprenez que vous allez refaire votre classe de cinquième, de quatrième. Vous pouvez renaître en enfer, mais ne vous faite aucune illusion à ce qui arrivera un jour ou l'autre. C'est vrai on n'a aucun souvenir jusqu'à le dharma vous en donne. Mais je me suis vu dans un passé qui est tellement lointain que je ne préfère pas y penser, dans une autre race humaine insecte. Car ce ne sont pas des singes mais des fourmis qui se sont mises sur deux pattes, les animaux sont des insectes aussi. Ainsi vous avez une sorte de scarabée comme animaux qui broutent dans les prés à la place des vaches, et c'est pareil vous avez l'école. J'étais marié à l'époque à une femme insecte d'une beauté à faire pâlir, je me vois devant le cocon de notre enfant, elle et son nœud papillon rose faisant ressortir la fine beauté féminine de son corps noir d'insecte humain. Ainsi j'ai annoncé à la naissance, à ma famille insecte, que j'allais renaître sur une planète qui s'appelle la Terre...C'est le destin de la Terre devenir un souvenir qui n'existe plus, dans les rêves, comme toutes choses un jour.



Prologue à mon livre

On est à la fin des temps, depuis que je suis adolescent je le sais, depuis que j'ai 12 ans et que je suis devant le poêle du préfabriqué de cinquième, et que la vieille bique bourgeoise de français me fait cours. La pauvre a vu la déchéance de sa civilisation, mais elle ne connaît pas "no future", elle détesterait la science fiction, les ordinateurs et surement aussi Donald Trump ! Elle enseigne que Voltaire, Rousseau, Racine, Corneille, Molière, et Victor Hugo, bref elle n'a pas lu "Substance mort" de K.Dick, pour elle on est fichu. Remarquez que l'élève que je suis n'en a rien à foutre, elle-même a subit une opération esthétique le jour de mai 68, elle laisse poindre des petits tétons à travers un chemisier, depuis que les fumeurs de joints ont pris le pouvoir sans s'en rendre compte, elle a perdu toute vertu comme beaucoup à cette époque. Il aurait été malvenu de faire une remarque, comme le slip de bain qui vous colle les jours de la piscine. Un des rares cas où on se sent très mal, et qui pour madame ne demandait pas l'ombre d'une remarque dans sa sévérité. Cette catastrophique horreur qu'est l'orthographe vous empoisonne l'existence, vous regardez une phrase et son sens, pas des mots et un jeu de constructions syntaxiques, pervers, qui vous empoisonne l'existence, n'apportant pas de signifié, ayant compris c'est la première chose qu'on n'abordera jamais, il faudrait la mise en cause,
justement ce dont rêvait sa génération et qui n'a abouti à rien. Se remettre en cause, c'est reconnaître ses erreurs, cette génération s'étant égarée dans l'extrême gauche, trotskiste, maoïste, et autres
idéologismes, sachant que l'idée prime avant la réalité des faits, ce qui montre à quel point cette génération était capricieuse, et absolument hors de toutes remises en cause, et allait devenir cette
idéologie réactionnaire qui allait voter plus tard pour Sarkosy ou Macron. Pour le prof ce qui compte c'est le signifiant, le travail, pas le signifié, c'est là où on imagine qu'ils auraient pu nous envoyer dans
des camps maoïstes suffit d'un changement d'idéologie, la sienne était pourtant assez claire, c'était Voltaire et le siècle des lumières. Mais il fallait avant tout maîtriser l'orthographe et la grammaire, sachant qu'à l'image de la société et de la personne apte à l'étude, c'est un savoir indispensable à maîtriser, c'est à dire qui ne rapporte rien, le signifié, il faut le concevoir, n'est jamais une chose que l'on remet en jeu. C'est l'heure, on va rendre la dictée, le cauchemar a déjà commencé, l'imperturbable note s'affiche devant ses yeux, zéro, c'est tout ce qu'il obtiendra, c'est tout ce qu'il a cherché à obtenir en définitive vous me direz, ne sachant et nous voulant pas savoir ce que c'est qu'un adverbe ou un COD, saloperie de chiures de mouches qu'il n'en a encore rien à foutre aujourd'hui et on ne le changera jamais, il aime que ce qui rapporte à soi-même, et pas ce qui est sensé rapporter par rapport
aux autres, étant l'idéologie de tous les dominants. Ce qui rapporte avant tout à soi, pas dans la pensée égoïste, ce qui rapporte à soi, dans la pensée du bien, qui avant tout de comprendre que l'on ne peut pas comprendre et expliquer le bien. Ce qui donne une qualité à l'être est de ne pas partir d'une pensée égoïste, rechercher son profit et son vouloir, dans le fait de maîtriser l'inutile du conformisme qu'est l'école et la dictée en est une. Antonio est triste du résultat, il n'assume pas le verdict, celui de la société, il vient toujours quand on regardera ce que tu as écris, zéro, comme il est médiocre. Il a trois amis, l'un d'extrême droite, l'un d'extrême cynisme, l'autre auquel il est moins lié, un copain et amis des deux, d'extrême je m'en foutisme, il a 12 ans. C'est le cynique bourgeois qui fera les meilleures études et aura le meilleur boulot, au fond cela est déjà prévu.

Le deuxième cours de la journée est celui d'Italien, personne ne dit rien, surtout l'extrême cynique Baliba qui a déjà prévu ce qui fallait apprendre par cœur sur une feuille, dans la copie qu'il allait remettre. L'interro se passe bien, l'extrême cynique a déjà les réponses au devoir, Antonio n'a pas réussi à le lui soutenir. Le prof d'Italien a un nom à consonance italienne, un adepte de
Mussolini. Il n'y a jamais le moindre bruit dans la classe ; au moindre chuchotement, il vous menace de vous envoyez en conseil de discipline, il rentre dans une rage démente, devant une telle colère personne ne moufte rien. Mais toute la classe pense la même chose même si on ne s'est pas adressé la parole, ce type est dément, mais que vaut la pensée d'un élève de 12 ans.
Antonio a une invitation du bourgeois cynique Baliba à jouer.
"Tu veux venir après les cours faire une partie sur Apple II".
"Pourquoi pas après tout" répondît Antonio.

Baliba habite pas loin de chez Antonio, c'est un deux étages, son père qui tient une entreprise informatique a besoin d'un étage pour ses ordinateurs, Baliba s'est trouvé seul dans cette classe fréquentée de brutes de banlieues, il s'est trouvé un ami, un collège de centre ville
qui mélange toutes les classes sociales. Il est plutôt beau gosse, passe toujours pour quelqu'un de poli et sociable, tout le contraire d'Antonio de ce côté là, et puis cela fait toujours bien d'être l'ami d'Antonio, il est sympa, et il est intelligent, mignon aux yeux des filles, et ce qu'il n'ose pas dire aux
autres, Baliba avait comme un regret d'être pas comme lui, comme s'il n'avait pas sa franchise. Baliba l'a invité entre midi et deux, à l'heure pour manger.
Baliba s'est emparé du téléphone.
"Je vais t'expliquer ce qu'il faut faire".
Baliba a déjà en ligne les deux inséparables copines et bons élèves, assez moches mais la langue assez pendue pour répondre à ce culotté de Baliba. Elles sont charmées par le baratin de cet imbécile, c'est cela qui énerve le plus Antonio.
"File-moi les réponses à la deuxième question du devoir d'Italien, je te
fournis le reste"
En fait, ce sont elles qui fournissaient tout.
"Voilà comment on se débrouille dans la vie" dit Baliba en raccrochant. C'était un ami, il fallait qu'il l'aide. Antonio ne sut pas quoi lui répondre. Cet empoté d'Antonio ne savait pas se débrouiller, c'est ce que pensait Baliba, mais il le trouvait sympa et marrant. Il y avait comme une mésentente avec Antonio, Baliba savait vivre en société et se faire des copains avec ses voisines, lui, Antonio se foutait de tout, c'est ce qu'il pensait. Antonio n'épilogua pas sur l'histoire, il avait un œuf avec une salade
au dîner. Baliba annonça fièrement qu'il savait faire à manger. Antonio n'osa pas lui dire que s'il y avait une chose qu'on n'allait lui apprendre, étant d'une famille bien française, où on aime la bouffe,
c'est la faire. Il ne préféra pas épiloguer sur la difficulté du plat, on reconnaît à ce genre d'individu comme Baliba, c'est sa mauvaise foi. Après avoir mangé, on passa à l'étage. Baliba faisait le malin avec ses disquettes piratées. "Je vais te montrer quelque chose" Baliba glissa une disquette cinq pouces un quart dans le lecteur de l'Apple II qui se mit a crisser ; l'écran en monocolore et 256 par 256 mimait une scène de sexe numérique, Baliba était content de lui et tout sourire de sa démonstration. Voilà
un avantage d'avoir un ordinateur, il n'osait pas le dire mais c'est ce qu'il pensait exprimer.
"On va faire une partie de Bilestoad, je vais te massacrer"
Il avait un avantage à ce jeu parce qu'il n'avait pas d'ordinateur, c'est ce qu'avait toujours pensé Antonio. Deux guerriers vu du dessus qui s'affrontent avec haches et boucliers, des corps transpercés dans des éclaboussures de sang, des membres découpés et qui tombent, on ne verrait pas cela dans un jeu moderne, cela remplissait de joie Baliba. Antonio ne remporta aucune partie, ne maîtrisant pas le jeu. Il y avait eu le temps de faire une partie, la défaite avait déjà été suffisante.

Il s'agit d'étudier la grande littérature, Flaubert, Théophile Gautier, Hemingway, Simenon et le roman de Françoise Sagan sont au programme, Bonjour Tristesse. Oui, François Mitterrand a été élu, la gauche a une politique culturelle et aussi un grand écrivain. La civilisation disparaissait avec les grands écrivains, le passé était trop lourd pour qu'elle ne méprise pas la disparition de l'intellectuel et du grand philosophe, alors autant mettre en avant quelqu'un qui en cette fin de XXéme siècle était un écrivain. C'était sa référence et l'idéologie qu'elle pensait défendre, le féminisme et la liberté que la femme a le droit de saisir et de profiter, en étendard des années 60. Il faut dire que c'est une écrivaine préférée de sa mère, il ne devrait pas critiquer, mais quand même, le cynisme, l'immoralité et l'absence de remords de la narratrice du livre avait frappé Antonio. C'était pas son histoire, il n'en avait rien à foutre et avait rien retenu de celle-ci, à part qu'il trouvait la narratrice tête de linotte et ingénue, bref il l'a détesté, c'était ces bourgeois qu'il méprisait comprenant le signifiant et ignorant le signifié. Elle pouvait tout se permettre dans sa liberté de femme, et elle n'avait pas à subir les conséquences de ses actes et n'avait pas à être jugée. Antonio ne se serait pas permis le quart de cette insupportable emmerdeuse, et il aurait été convoqué et viré trois jours de l'école, la vieille bique, cela lui venait même pas l'esprit de faire des comparaisons, on avait 12 ans, le travail, l'autorité et la morale, c'est tout ce qui comptait.

Mon père me propose de m'envoyer chez les jésuites, ce n'est pas ce que je ferais, je préfère le service public, je n'ai envie d'aller voir de nouveaux tyrans. Acomaçon le prof d'Italien a recommencé à menacer de renvoyer un élève parce qu'il avait chuchoté une phrase. Le silence est établi un fois pour toute, on n'entend que le bruit des feuilles ballotés par le vent, remuant la poussière sous les fenêtres, en ce mois d'hiver, c'est la seule chose qu'il veut entendre, un silence de poussière. Tout le monde est terrorisé, Antonio n'en dort pas la nuit, mais il s'accommode de tout. Acomaçon pense déjà savoir qui va déjà passer en CCPM, il a tout le monde dans la ligne de mire. L'autre cours de la journée était le cours de mathématique. Vous avez 18 en cinquième, vous aurez 13 en terminal, c'est par cette affirmation péremptoire qu'avait débuté le premier cours de mathématique. Et on ne peut rien y faire, avait-il sous-entendu. Son autorité était assise sur ce genre de certitudes, celle des mathématiques.
Antonio à 12 ans a déjà compris la relativité en essayant de résoudre un des nombreux problèmes qu'il se pose, il ne va pas vous l'expliquer. Mais il peut vous expliquer la relativité restreinte, les vitesses ne pouvant pas s'additionner au delà de la vitesse de la lumière, limite physique, c'est le temps qui s'écoule plus vite selon la vitesse, pas les vitesses qui s'additionnent, et donc aussi de l'endroit où vous vous trouvez. Dans un référentiel inertiel, immobile, le temps est suspendu. Mais il ne s'agit pas d'expliquer cela, non aujourd'hui, ce sont les bijections que le prof explique, malheureusement ce raisonnement n'existe pas, on ne peut l'associer à aucun raisonnement de relativité, cette logique n'existe pas dans la réalité, seulement dans vos équations. Il n'aurait de toute façon pas compris s'il lui avait expliqué cela. De toute façon, il n'avait pas envie d'apprendre cela, il avait décidé de rien retenir d'un raisonnement qui n'existait pas. Au demeurant la théorie n'empêchait pas de résoudre les équations, mais il avait décidé de rien faire, vu que le but était de passer pour un con, autant rien
foutre. Que le mètre et la mesure peuvent mesurer les choses, mais la mesure est fausse, vos raisonnements sont faux. Parce que ni le mètre ni la mesure n'existent, vous êtes censé ne donner aucune mesure, les deux endroits sont par essence superposés, vos sens s'accommodent de cette superposition, qui crée le déterminisme à travers vos sens, la réalité, mais l'illusion que vous percevez à travers vos sens est vacuité. Vous voyez le déterminisme, votre réalité, mais pas les conséquences qui l'ont créé, qui n'est rien que l'appropriation à votre sens et à votre mental.

La vieille bique bourgeoise, notre prof de français, mdm Durtel, a voté Francois Mitterand, ce n'est pas ce qu'elle a dit, mais c'est ce que pense Antonio. Elle est pour la sévérité en classe, cela commence par
les recommandation de l'éducation nationale que de faire un test de Q.I, pour savoir en effet qui pourra faire des études. Ella a l'air de prendre très au sérieux ces tests, elle croit comme le fer que c'est une manière scientifique d'évaluer, qui engendrera le déterminisme de la classe qu'elle représente, celle des profs et l'éducation. Elle est très confiante dans ce qu'ils valident ou pas, on voit l'imbécile et celui qui n'est pas. Celui qui réussira ou pas. Les tests étaient des suites de nombre à établir ; le caractère répétitif d'une suite, ce qu'ils appellent la logique mathématique était
signe de l'intelligence. La logique existe vraiment, c'est le déterminisme, mais la logique appliquée à soi-même n'existe pas, seul le fou agit de manière logique, il a déjà prédéterminé les choses en choisissant une constante, alors que la réalité ne peut être déterminée. Je change d'une idée qui n'est
déjà plus l'autre, car les résultats de mes pensées qui créent mes formations mentales, de mes perceptions, ressentis, de ma connaissance et ma corporalité sont le changement, le fait que je vieillis, est vacuité, vide d'appropriation à un immatériel et un matériel inconstants. C'est la seul chose qui engendre le déterminisme, à travers nos actes immatériels et corporels, en utilisant la sphère sensorielle et le mentale, l'acte, le karma qui crée notre responsabilité, l'impermanence des choses, des êtres et des écrits, et leur vacuité, leur absence de nature individuelle. On engendre le bien ou le mal. Antonio n'avait rien compris à ce qu'il fallait faire et n'avait envie de réfléchir à une chose qui ne l'intéressait pas, il fit le test peu confiant, et obtint un résultat médiocre, 90, ce que le psychologue
jugea dans sa psychologie, c'est tout ce qu'il pouvait obtenir. Baliba avait eu 110 de QI, il se vanta d'être intelligent, il était confiant dans la suite de ses études, ils étaient déjà en train de travailler pour lui remettre le prochain devoir, Baliba avait raison, il allait réussir, son père était un bourgeois installé, il avait la morgue de sa classe sociale, quand il serait informaticien, les gens travailleraient pour lui.

La cinquième, la quatrième, redoublement,

"Je viens de corriger les notes de rédactions, malheureusement beaucoup sont allés voir le livre et ont recopié la suite."
"Antonio, je ne sais pas où vous avez recopié le texte, mais il est impossible qu'un élève de votre âge puisse écrire une chose pareille"
Antonio décida que cette fois-ci, il ne ferait plus rien, ce qui était déjà le cas.

La troisième.

"Vous devriez prendre exemple sur Baliba, il a obtenu d'excellentes notes en Italien, il s'est mis au travail, vous devriez en faire autant".
Antonio n'osa pas lui dire comment, Baliba avait bonne réputation autant avec les élèves qu'avec les profs, il était amical avec tout le monde et avait obtenu les encouragements au conseil de classe. L'élève de troisième ne sembla choqué par cette sotte, elle faisait partie de ces femmes qui avec la beauté vous mèneraient par les bouts du nez. Il ne leur avait jamais expliqué qu'elles étaient des connes candides, non seulement de ne pas s'en rendre compte et de se faire autrement mener par le bout du nez par certains. Cela faisait partie des profs dont l'intégrité ne peut être compromise, la cible favorite pour le genre de racaille que je connaissais. Elle lui avait gâché sa journée, Antonio se retrouva en seconde de détermination puis en Terminal B.

"Vous parlez du taux d'emprunt d'Etat de la banque de France, de son taux horaire, du chômage divisé par l'inflation en fonction du smig, du montant que la banque centrale va prêter à la banque de France."
Quatre à cinq élèves se mirent à rire de la bonne blague.
Merdedefacto prof d'économie prit sa mine satisfaite de ceux qui avaient compris ce qu'il disait, et qu'il avait entendu à la TV.
Le taux d'emprunt d'état est fixé, après ils font un tableau pour rigoler, où le taux d'emprunt variera en fonction des heures travaillés pour montrer que les chômeurs sont des feignants. Antonio finit cette classe d'ordures, passa son Bac et s'inscrit en BTS informatique.


Le diable

Le surnaturel ce n'est pas l'irrationnel, il n'y a rien de plus rationnel que le diable et cela n'a rien de merveilleux, les candides

 

Voeux

C'est l'attirance à la forme qui crée nos désirs, d'où vœux de chasteté, car il faut éviter toute appropriation au corps.

Finitude

L'attirance à la forme, est l'attirance à la corporalité, au sexe, seul agrégat matériel. L'attirance à la forme c'est aussi quand on s'attache à son corps qui vieillit, à son apparence, c'est pour cela qu'il est intéressant de méditer sur des cadavres pour comprendre notre finitude, principal moyen de comprendre l'enseignement de Siddhartha.

La pensée

La pensée est un long file qui s'étire qui donne le dernier endroit ou vous êtes, ni au vous étiez, ni ou vous serez. Vous ne pouvez pas arrêter l'endroit de vos pensées, en utilisant les cinq sens et le mental, stopper le temps pour cela, car le temps est vacuité, il est vide d'appropriation par votre mental, ressenti, perception, connaissance, attirance à la forme. On ne peut pas s’approprier le temps, s’approprier ses pensées, ou alors on souffre, c'est un long file qui s'écoule, que l'on ne peut pas stopper. On arrête ses pensées quand on médite, le long file continu de s'écouler, par le ressenti, la perception, la connaissance, le mental, l'attirance à la forme, en se servant des cinq sens du le mental, le but est de ne pas s'approprier à ce file, qui est vide, vide de soi.

Mésentente

La science mesure une possibilité qui pourrait être invalidité par d'autres mesures, elle peut être nié, le savoir de Siddhartha non, on ne peut pas inventé d'autres cas que celui que vous expérimentez, alors pourquoi avoir dit que l'un était supérieur à l'autre alors c'est le contraire. Pour les mathématiques, il n'y a pas d'autre cas, c'est la même chose.

Bouddha

Pour devenir un Bouddha, il faut croire à un Bouddha, devenir un arahant, c'est croire en son enseignement, c'est différent, extrêmement peu de personne ont assez de jugement pour croire en un Bouddha, c'est cette minorité qui fait l'élite, ce qui compte pour devenir un bodhisattva c'est la jugeote, qualité dont on déplore l'absence, je suis le maître des bouddhas pour cette raison, je ne me suis pas trompé sur mon jugement, c'est cela qui fait la différence. Cela explique qu'avec aussi peu de sagesse dans les actes j'y sois arrivé parce que j'avais le meilleurs jugement de tous.


Abandon

Il Interdisait les plaisirs mondains, comme écouter de la musique, en gros vous écoutez de la musique jusqu'à vous faire mal, ce sont les règles secondaires qu'il a dit d'abandonner. Tous couper pour y arriver est la solution la plus radicale, vous n'êtes pas là pour juger de l’efficacité de sa méthode. Personnellement pour la santé mentale, même d'un bouddha, il est nécessaire de couper BFM TV.

Erreur

Mais pour se proclamer Bouddha, il faut disposé d'un enseignement.

Mensonge

Alors ceux qui ne comprennent qu'il y a un principal mensonge, c'est la sexualité, aucun n'y a renoncé ou alors c'est de l'hypocrisie et un mensonge, il y a tellement de moines corrompus, et la première chose qu'ils ont oublié c'est de prendre un vœux de chasteté, mais c'est juste des gens qui sont avides de pouvoir autant que peut être toute personne qui détient un pouvoir, cela ne peut être la voie d'un éveillé, la seule voie de l'éveillé est son enseignement.

C'est cette volonté de soi qui fait renaître

Le samsara n'est pas différent du nirvana, parce il y a depuis toujours absence de nature individuelle. C'est le karma, la soif, le contact, les sensations, par les cinq sens et le mental, c'est l'attachement, de la connaissance, du ressenti, des perceptions, de l'attirance à la forme, des formations mentales, par les actes, qui souffre parce qu'elle s’attribue un soi alors que celui-ci n'a jamais existé, il suffit de voir cette interdépendance des agrégats pour saisir la vacuité de l'être et son absence de nature individuelle. C'est cette volonté de soi qui fait renaître.

S'assumer

Il est facile de penser ce que les intégristes pourraient penser de la doctrine de Siddhartha, il faut que vous vous assumiez, il n'y a pas Siddhartha derrière pour vous secouez.

La lâcheté et l'obéissance

Bouddha ne peut que constaté que vous acceptez ou n'acceptez pas, hors vous ne voulez pas comprendre grand chose, comme l'autruche qui a la tête dans le sable, car vous avez déjà votre idée, et l'idée dans changer est la pire des choses à admettre. Moi j'ai eux le courage de remettre en cause, les gens intelligents savent penser à l'encontre d'eux, de ce qu'ils pensent et ne vous croient pas vous les gens, société, civilisation, religion, ils sont sceptiques mais attentif aux autres, ouvert à ce qu'ils disent. En effet les gens ordinaires croient au plus commun et admis, ne remettent pas en cause, obéissent dans leur candeur, tous ce qu'un Bouddha comme moi n'admettra pas et font que j'en suis là aujourd'hui.

Bouddha vous emmerde !

Vous n'avez rien retenu de vos cours de philosophie, Descartes, Kant, Spinoza, c'est que vous avez déjà la raison, vous ne polluerez pas le dharma avec toutes ces conneries, vive l'inculturation !
Vous êtes une offense à la sagesse !
La sagesse cela n'existe pas, il y a non-sagesse. C'est des mots, des concepts, la sagesse est au delà des mots, des concepts, elle ne peut être réduit à cela, elle se contente d'être présente ou absente, vide de toute attribution, de toute détermination.

Les créatures

Il ne s'agit pas d'un défi ou d'une rébellion qu'il y a des métiers qui portent atteintes aux êtres, comme pêcheur, il y avait deux poissons dans l'aquarium du poissonnier (pas destiné à être mangé), nous avons tout de suite sympathisés.

Désuète organisation

Tous ces types en costumes oranges qui sont dans une secte et qui veulent suivre le chemin de bouddha, c'est un fake, un gros fake anachronique.

Les faibles

Quand à ceux qui ont nié les libertés individuelles au profit de la société, en inventant un collectif et en détournant le message du Bouddha stupidement incompris, en niant la liberté de décider de la personne, sa liberté d'agir, d'avoir une pensée, une autonomie, qui est autant que le reste la vérité, ils n'obtiendront pas la vérité du dharma et en serait bien incapable, faute de toute valeur démocratique et occidental, nos amis d'Orient.

L'erreur

Les concepts de la science, de la philosophie, de la politique vous empêchent de voir le vrai message de Bouddha, parce que vous croyez a des choses qui sont immuables, la vérité ne peut être réduit a des concepts, à ce que l'on ne peut pas discriminer, isoler l'un de l'autre, caractérisé, parce qu'étudier par des esprits individuels qui essayent de discriminer comme individualité une réalité qui ne l'est pas, c'est pour cela que l'on se trompe et que l'on ne distingue pas le message de Bouddha.

Bodhisattva

Aucun Bodhisattva ne croit à des concepts, sinon ce n'est pas un bodhisattva, cela vous élimine tous. La voie du Bodhisattva est une extrême minorité.

Nibbana

L'attirance à la forme est toujours là, il n'y a pas cessation des fonctions perceptives, mais cessation des désirs et des pensées oiseuses.

Libre-arbitre

Il n'y a pas début ni de fin, tout est née au même moment et à pris fin au même moment, le temps est un ensemble vide, c'est pour cela que tout est déterminer, vide de toute attribution, ce qui est déterminé est basé sur le principe d'incertitude, chaotique. Notre choix est notre karma, c'est notre libre-arbitre. Mais il est connu : Il n'y a ni création, ni destruction de nos pensées, de nos formations mentales, comme de notre ressentie, perception, connaissance, attirance au corps, vacuité, vide de soi, en utilisant les cinq sens et le mental, le contact, la sensation, la soif, l'appropriation de ce qui peut être retenu comme absence de nature individuelle, ne pouvant être isolé, le devenir, les causes et conséquences n'appartiennent plus à notre libre arbitre, naissance, vieillesse, mort, c'est le samsara, seul l'absence de souffrance et de désirs appartiennent à notre libération, le nirvana, ne crée plus de devenir

Règles

Regarder un film, lire un livre, écouter de la musique, le charme, la rhétorique, le génie, tous cela sont des plaisirs mondains, écouter de la musique pour se motiver l'esprit en écrivant ces quelques lignes, non, se cultiver en lisant ou regardant un film, non plus. Exposer ou étudier le dharma n'en est pas uns quelque que soi les moyens, il ne faut pas sous-estimé la méthode qu'à employé Siddhartha pour arrivé a ces fins, mais ce sont des règles secondaires qu'il fallait abandonné. Par-contre, gaspillé son temps en des plaisirs mondains ou lieu d'étudier le dharma n'est pas une bonne chose, et je suis dans mon rôle.

Acceptation

Il faut accepté que ce qui peut être démontré, les agrégats peuvent être démontrés. Ce qu'ils expliquent, leur nature non individuelle, notre absence de nature individuelle, car la connaissance ne peut pas existé indépendamment de notre sphère sensorielle, notre perception non plus, notre ressentie, non plus, ainsi que nos pensées, notre mentale, nos formation mentales, pas plus que notre attirance à la forme, matérialité, corps. Nous sommes interdépendant, de ce que l'on perçoit, connait, ressent, de nos formations mentales, de notre corps, il n'y a pas d'intérieur et d’extérieur, dans ce que l'on voit, entend, goutte, touche, sent, pense, ni création, ni destruction, vide de toute détermination, ni existant, ni non existant, vide de toute appropriation car dénué de nature individuelle, vacuité.

Raison

La conscience est une pure invention, cela n'existe pas, comme le concept des cinq agrégats, il y a non ressentie, non perception, non connaissance, non formation mentale, non attirance au corps, on ne peut pas situer un ressentie, une perception, une connaissance, une formation mentale, un corps, en se servant des six sphères sensorielles, en donné une détermination, se l'approprier, car cela est vide de toute nature individuelle, l'aveugle n'a plus de vu mais il voit toujours, les agrégat le font toujours souffrir, on ne peut pas abolir les agrégats, ni la sphère sensorielle. Les agrégats s'efforcent de décrire une réalité qui est bien réel, et si votre esprit s'associe avec ce qui est réel vous aurez la raison, celle de ne plus s'approprier le ressentie, la perception, la connaissance, les formations mentales, le corps, en reconnaissant votre nature interdépendante et donc non individuelle, et alors de réaliser le sans mort, le sans souffrance, l'éveil.

Repos

L'éveil c'est exactement, mais exactement l'inverse d'un état modifié de conscience, c'est la conscience qui ne souffre plus, au repos.

Médias

On se fait manipuler par les images, on s'en sort jamais. Depuis qu'il y a les portables, c'est encore pire. C'est la dictature de l'image, de l'immédiateté, dans un texte il y a un minimum de recul. C'est la pire façon de faire de la politique, parce que cela prolonge l'ignorance en mimant quelque chose de vécu, alors c'est de la TV réalité.

Soyons sérieux

Un processus mathématique n'est qu'une machine, un automate, cela ne peut pas représenté une créature vivante, les chimères du scientisme sont tenaces, les même comme Pascal qui représente un canard comme une machine, comme vous voyez comme ils peuvent se disputer, et les relations sociales qui existent entre eux, il faut les observer.

Altruisme

Un jour un des disciples de Siddhartha se lamentait de la beauté des choses, Siddhartha lui avait offert une œuvre d'art, il ne s'agit pas d'être égoïste et totalement stupide.

A l'école

Le cour de dessin ne créera aucun peintre, le cour de musique aucun musicien, le cour de sport aucun sportif, le cour de français aucun écrivain, pour les choses plus sérieuses, le dharma, s'adressez à celui qui au fond du couloir en rentrant à gauche, il est devant son ordinateur.

Ne vous attendez à rien non plus, cela n'a pas changé

Je vous assure les biens pensants considérés Siddhartha comme une cloche, un pauvre qui fait la mendicité.

Les bases de l'intelligence

Les gens intelligents ne sont pas éloignés de la pensée de l’autre, les gens sont bêtes à cause de cela, ils ne comprennent pas certaines choses, vous jugez la célébrité, le talent, le génie, le charme, la rhétorique, les capacités mondaines, mais pas l'intelligence. Voilà une morale qui doit être apprise à l'école, et pas plus, c'est ce qui convient, et cela exclus tous les médiocres, l'intelligence ne se juge pas, elle est au delà des mots, des concepts.

Non je

On est dépendant d'une humanité, d'une civilisation, pensez être indépendant et ne pas être dépendant, ne pas en faire parti, est en total contradiction avec la réalité, nous faisons parti d'un tout collectif influencé par la pensée des autres, le je n'existe pas, pas plus qu'il n'existe dans l'expérimentation des cinq agrégats en utilisant les six sphères sensorielles. Rien que dans votre penser tel quel est constitué, le je n'existe pas. Croire en cela c'est croire en des concepts, car la pensée individuelle attribut un je alors que la réalité est absente de toute attribution, de toute individualisation. Car le je que j'invente n'a pas de réalité, car il se veut permanent alors que la réalité est impermanente, soumis au changement, le je que j’attribue erronément n'est plus celui qui pense au même instant. Nous sommes absent de nature individuelle, la réalité tel que l'on la perçoit est absent de nature individuelle, tel qu'on la ressent, connait, expérimente dans nos pensées, nos formations mentales, dans notre corps, parce que notre perception, notre ressenti, notre connaissance, nos formations mentales, notre corps, sont impermanents, soumis au changement, à la vieillesse et la mort, la pensée des autres n'existent pas, c'est un concept, pas plus que le Je de notre pensée. 
Croire au je de notre pensée, c'est croire a des concepts, c'est illusoire.

Mortel

Devoir renoncer à la passion, l'amour, les femmes, il en n'est pas question, ou alors c'est un mensonge, ils ne conçoivent pas que l'absence de souffrance, c'est une absence du désirs de l'autre, car il n'y a plus de possession envers soi-même, envers son corps, son mental, à travers sa connaissance, son ressenti, sa perception, en utilisant les six sphères sensorielles, car le je est absent faute de permanence, car la possession de l'être, de l'autre, est absent en vous-même. C'est attribuer un soi à ce qui est changeant qui est cause de la souffrance, parce ce que par définition un agrégat n'a pas de soi, car interdépendant, car on ne peut pas annihiler les six sphères sensorielles. Notre corps est changeant, notre mental est changeant, notre perception, ressenti, connaissance. Nous vieillissons, puis nous mourrons, quand vous attribuez un soi a ces agrégats, vous attribuez un soi qui n'existe pas, car nous sommes changeant, car nous vieillissons, car nous sommes mortels.

La foi

La première fois qu'il ont vu Siddhartha, ils ont su qui ne leur pas mentait pas, la principale qualité est de voir les qualités morales chez l’autre, c'est ce que l'on appelle la foi.

Karma

Il parait que les chances d'avoir toujours une renaissance en tant qu'être humain et d'une.....sur pas grand chose, il faut dire que cela dépend de votre honnêteté. Lol !

Désirs

On est soumis à nos désirs donc ce que l'on décide de faire, on est soumis à nos pensées donc ce que l'on comprend de notre propre nature. Les conséquences de nos envies sont notre attachement et notre souffrance, il n'y a aucun jugement devant cela; de notre pensée nait notre compréhension ou notre ignorance. Un éveillé est libéré du désirs, des envies, donc de la souffrance, car il ne projette pas une individualité qui n'existe pas.

Religion

On devient sotapanna en ne croyant plus en une personnalité qui ne peut-être qu'une invention, devenir arhat, il faut si consacrer à plein temps et suivre l'enseignement d'un bouddha.
Il a éliminé la vision du moi, le doute ainsi que l'attachement aux rituels et croyances.
il ne connaîtra que sept vies au plus (en comptant la vie actuelle) et ne renaîtra plus jamais dans les plans d'existence inférieurs.

Mythomane

Les intellectuels, et philosophes s'attachent a des concepts et à des idées comme s'ils étaient immuables, définissent des propriétés à des concepts qui ne sont que des créations de l'esprit, et s'y appuient pour défendre des idées. Ainsi ils ne comprennent pas que ce ne sont que des vues de l'esprit, ils s'y approprient comme étant soi, comme étant quelque chose de tangible, ils font croire a un moi, a une permanence, ils défendent l'ignorance en arguant de la volition d'être, ils font siennes l'idée de soi cause de souffrance. J'ai affaire à des gens qui croit à Edgar Tolle, à Bruno Bettelheim, à Raél, il ne s'agit pas de raconter des idées les plus farfelues qu'il soit, surtout quand cela concerne des mythomanes manipulateurs, pas besoin d'inventer un roman ou une histoire auquel on est sensé croire et adhérer, Siddhartha vous décrit la réalité telle que vous pouvez l'expérimenter, cela en comprenant comment on réalise le Nibbana. Cela n'a rien de la pensée magique de ces trois escrocs dont le Dalai lama fait parti.

La voie du bodhisattva

Un bodhisattva est absent de tout concept, c'est de cette manière qu'il devient un bouddha, la sagesse se mesure à cela, au fait de pouvoir suivre la voie du bodhisattva pour devenir un bouddha.

Douleur

Souffrance, affliction, douleur, anxiété, insatisfaction, angoisse, tension, stress, malheur, aversion. Il s'agit d'une douleur morale et souffrance physique induite par la perception que l'on a du caractère transitoire de l'existence provoqué par la croyance en l'existence d'un soi. Hors c'est parce que les agrégats sont transitoires que l'on parle d'absence de soi, de non soi, quand on expérimente les agrégats en utilisant nos six sphères sensorielles, on ne s'attache pas au caractère transitoire de ce qu'on expérimente, sinon crée de la douleur, alimenté par les désirs qui par natures impermanents et ne peuvent jamais être satisfaits.

Pièces chauffés à blanc

L'ignorance est la cause de la souffrance, l'ignorance est de croire à l'existence d'un moi, hors cela est contraire à la vérité que tout les phénomènes sont interdépendants. La douleur, la lamentation, le chagrin, tristesse, désespoir, naissent de cette appropriation à un soi, hors tout est vides d'existence propre, c'est la vacuité. Cette appropriation à un soi est ce qui provoque un égo qui est cause de souffrance, l'attachement à un devenir, à une jouissance qui sont que des facteurs transitoires car tout est impermanent, est donc vide d'existence propre. Cette ignorance est cause de formation mentales qui naissent avec la conscience des cinq sens et du mental, ils créent des phénomènes physiques et mentaux, qui créent un désirs un attachement, un devenir. Hors tout est vacuité, le soi n'existe pas, prétendre le contraire c'est créer un attachement un désir qui créaient de la souffrance à un moment ou un autre. Cette appropriation à un soi crée un devenir, naissance, vieillesse mort et renaissance. L'être éveillé n'a plus de flux de penser crée par un ego, par l'ignorance qui croit à l'existence d'un soi. Il n'a plus de devenir donc de renaissance. Il est dans le nibbana, il est comme une pièce chauffé à blanc qui refroidit instantanément par ce qu'il n'a plus de désirs crées par un moi.

Vacuité

Une des conséquences de l'éveil est que le désir et la haine disparaissent, car ils naissent de l'appropriation a un moi, les flux mentaux n'apparaissent plus, comme les pensées et ne s'écoulent plus, la souffrance cesse. Car il y a vacuité des phénomènes mentaux, de ce qui est perçu, ressenti, connu, approprier a son corps, approprier a son inconscient, par le contact du mental, de l’ouïe, de la vue, du toucher, de l'odorat, du gout. Ainsi il y a ni production ni destruction des phénomènes mentaux, ils n'ont pas de forme, ils ne peuvent être saisies, ni discriminés, ils sont ni être ni non être et sont par conséquent vide de mien.

Désirs

Les désirs provoquent l’aveuglement, la souffrance  naît de nos désirs qui s’expriment par nos 5 sens, et le mental . Le contact avec les six sphères sensorielles constituent les agrégats.

Par la modalité du ressentie, plaisant déplaisant ou neutre  que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoque la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.

Par l’attachement au corps à la forme que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoque la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.

Par les perceptions que nous avons que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoquent la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.

Par les formations volitionnelles, actes psychiques née de notre inconscient que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoquent la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.

Par la connaissance que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoque la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi

Sectaire

Non le principal problème est votre médiocrité, il ne faut pas être médiocre pour réaliser le nibbana. Et la malveillance, pour prendre comme exemple les gens de France Culture, il s'agit d'une rupture de la démocratie que les gens comme moi, qui ne partage pas l'alignement des médias n'ont pas droit à la parole, on t-il conscience qu'entendu à la radio ou vu la télé c'est la vérité ? Que Matthieu Ricard fait parti d'un mouvement sectaire ?

Distinction

Les cinq agrégats n'ont aucune réalité propre, c'est une création créer par notre esprit, nous interprétons le monde par nos cinq sens et le mental, les agrégats apparaissent faussement comme des élément distincts par notre mental et nos cinq sens, hors c'est parce que l'on ne pas disjoindre les choses que l'on ne peut leur donner de réalité propre, un soi, et que l'on ne peut pas donner une appropriation seulement une négation, la souffrance n'a aucune réalité propre, c'est une invention de l'esprit sinon nous pourrions pas s'en débarrasser, pas plus que le reste.

Fiction

L'occidental croit au progrès linéaire sans régression, c'est leur vision de l'histoire, mais il n'y a rien de plus faux, cette vision ne correspond en rien de la réalité, c'est juste de la propagande.

Mains propres

Il y a trop de concepts à renier, trop de concepts auquel on croit qui s'opposent au dharma, les philosophes matérialistes ont pour unique préoccupation ce monde et ce corps, pour faire de la politique on doit refuser certaines exigences morales, les mains sales de Sartre, c'est une justification de leurs mauvaises actions, le deuxième stade de leur raisonnement est qu'il faut satisfaire tout ses désirs, bien-sur sexuels, toute autre voie est inintelligible, cela ne fait pas parti de leurs cultures, les exigences morales et le principe de chasteté d'un bouddha ou d'un arhat, leur est inconnu ou ne peut être qu'un adversaire redoutable.

Désirs

On est soumis à nos désirs donc ce que l'on décide de faire, on est soumis à nos pensées donc ce que l'on comprend de notre propre nature. Les conséquences de nos envies sont notre attachement et notre souffrance, il n'y a aucun jugement devant cela; de notre pensée nait notre compréhension ou notre ignorance. Un éveillé est libéré du désirs, des envies, donc de la souffrance, car il ne projette pas une individualité qui n'existe pas.

Preuve

Les cours de Terminal de philosophie sont conceptuels, comme la science et de croire a ces dogmes, la rhétorique, l'argumentation, la logique, sont des concepts, la notion de reproductibilité est conceptuelle, tout étant impermanent, il ne se produit pas deux fois la même chose, ainsi la preuve se rapportant à soi-même est valable, c'est supérieur a une preuve scientifique car tous le monde a les moyens de vérifier par lui-même, ainsi l'éveillé peut toujours s'en rendre compte, car l'éveil est permanent.

Agrégats

Ne pas être dans l'être, la considération de soi-même ou l'inverse le nihilisme le non-être. Pour cela il ne faut pas s'inventer un soi ou une négation de soi-même. Le mieux est de ne rien considérer qui mène à croire à une individualité de nos agrégats, percevoir à travers le regard, ressentir à travers le touché, connaitre ou ne pas savoir à travers nos pensées, réfléchir à soi même en se regardant dans la vitre, être attaché à son apparence en pensée. Tout cela est cause de souffrance, il ne faut pas projeter un soi qui n'existe pas car tous ces agrégats sont impermanents, changeants, et absent de toute individualité.

Saisie

La saisie par le contact de la sphère sensorielle, à travers la perception et le ressentie, par la connaissance, les formations mentales et l'attirance au corps ne peut être déterminer, elle est facteur des écoulements mentaux et sensorielles, elle discrimine erronément en s'attribuant une individualité, une personnalité, car les agrégats sont vides de soi.
Ainsi toute conception crée une individualité qui est une illusion, en effet la réalité est non né, les agrégats sont non né, ils ne prennent naissance nul part et ne finissent nul part, les concepts sont illusoires car ils ont un début et une fin, auquel on attribue une individualité, mais les agrégats sont sans soi, sans individualité, les concepts ne sont qu'une fausse invention.

Pensées

Les pensées qui sont crées par les formations mentales sont vides de soi, les pensées n'ont pas d'endroit ou elles naissent, ni d'endroit ou elles finissent, elles sont non sont nées, on ne peut les situer en soi, elles sont impermanentes et donc indéterminables; ni hors soi, on ne peut être extérieur à nos pensées. Elles sont vacuités et non pas de soi.

Nature

Le nirvana est un état, l'absence de fermentation mentale, c'est la croyance à l'existence d'un moi qui crée les perturbations mentales et physiques qui sont causes de la souffrance. tout étant interdépendant et conditionné, rien dans la nature n'existe de manière individuel. Il n'existe pas un soi qui soit une nature de bouddha, c'est l'absence de soi qui est nature de bouddha.

Etre

Le bouddhisme réfute le nihilisme, l'absence d'un soi ne dit pas l'absence de la personne, c'est justement parce que tout est interdépendant qu'il faut prendre soin de tous les êtres.

Pluralité

Evidemment quelqu'un qui a réalisé le nibbana, ne croit plus a des concepts, la difference dans l'éveil est qu'un bouddha y est arrivé par lui-même, donc meilleurs pour enseigner la voie que quelqu'un qui a appris par quelqu'un d'autre. Mais l'éveil est le même.

Pluralité

Tous les bouddhas qui existeront pourront tous être très différents, ils auront tous en commun qu'ils ne s'intéressent pas à vos philosophies, à votre science, religions, morales, basés sur des concepts. Car la réalité ne peut être défini à cause de son inconstance, de son absence d'individualité.
Sinon que c'est un bien commun, qui donne l'interdépendance et le commun de la personne, et le bien qui en découle. En effet il ne s'agit en aucune manière de nier la personne, mais au contraire de lui donner son identité universelle.

Vide de soi

Ce que l'on perçoit, ressent, connait, nos formations mentales, notre attachement à la corporalité, tous cela est changeant, on perçoit, on ressent, on connait, on s'attache au corps par des formations mentales qui sont des processus inconscients qui sont transitoires, on peut agir sur notre inconscient en comprenant que les agrégats sont vides de soi, vides de toute individualité à cause de leur inconstance.

Inconstant

Il ne faut pas s'attacher à la forme parce que c'est inconstant, il ne faut pas s'attacher à notre corps qui est sujet au dépérissement et à la maladie, ni a nos sensations, perceptions, connaissances, pensées, car elles sont sujettes aussi aux dépérissements et aux maladies, comme tous ce qui est impermanent. On ne peut pas attribuer de soi à ce qui est inconstant. En attribuant un soi à ce qui est inconstant, on souffre.

Ce n'est que la réalité et non de votre invention, de votre philosophie, de votre culture.

Platon ou Spinoza a autant de chance que votre boulanger de réaliser l'éveil, parce qu'ils croient à des concepts et votre boulanger peut-être pas. L'intelligence n'est pas ou vous le croyez.

Le dharma

Les philosophes imaginent des réponses, inventent des idées, conçoivent des raisonnements, créent des concepts, Siddhartha n'a rien inventé, il décrit ce qu'il a observé et vous en fait part. On a bien entendu observé la conscience discriminante, quintuple lol !
Siddhartha est parti d'un agrégat connu par tous le monde, la perception, comme les formations mentales, le ressentie, la Connaissance, l'attirance à la forme, soyons sérieux si c'est possible

La réalité ne peut être défini par des concepts

Le philosophe invente une dualité noumène, phénomène, et discute grâce a des mots créateur de fausses imaginations d'une réalité inventé. Le philosophe croit au sens illusoire des mots, la réalité ne peut pas être conceptualisé par des mots, le mot qui dualise ne peut pas donner un sens à ce qui n'a pas de réalité individuelle, la réalité ne peut être défini par des concepts.

Impermanence

Ils ne comprennent pas que les mots sont une invention, que la réalité que nous percevons par nos cinq sens et notre mental est une illusion, qu'appliquer des concepts à ce qui non existant est source de l'erreur, comme s'inventer un concept de Dieu, car cela consiste à s'inventer une permanence. En effet, on ne peut séparer l'objet du sujet, rien n'existe par soi-même, en dehors des autres.

Jougs

En vous libérant du joug des conceptions, vous vous libérez du joug de l'ignorance. Le joug des conceptions agit sur l'agrégat de nos formations mentales, qui nous libère de notre attachement quand nous utilisons nos six sphères sensorielles, au travers de la connaissance, du ressentie, de la perception, des formations mentales, de la matérialité. Ainsi les jougs de la sensualité, du devenir, de la conception, de l'ignorance, cessent quand on a réalisé le nibbana.

Cela n'existe pas

Ce que tu es est sujet au changement matériellement quand tu vieillis, ton corps, ta perception, ton ressentie, tes pensées, ta connaissance, sont sujet à la vieillesse, au dépérissement, à la maladie, parce que nous sommes mortels, ce n'est pas du nihilisme, mais constituer une attribution à ce qui n'est jamais même, c'est se constitué un moi qui n'existe pas, il ne s'agit pas de affirmer en aucune manière que nous ayons aucune réalité, que l'octuple sentier n'ait aucune réalité, mais que les concepts d'une réalité ou d'un chemin, n'existe pas.

Vide

La liberté est l'absence de choix par rapport à la souffrance, c'est pour cela que l'on parle d'esclavage. Cela implique les actes que nous commettons et qui nous touche directement dans nos agrégats, on appelle cela la souffrance, le karma, mais il n'y a aucun individu qui reçoit cette souffrance, il n'y a de plus aucune souffrance, ni absence de souffrance, ni chemin, car nous sommes vide de substance, vacuité, vide de toute appropriation car inconstant.

Philosophie

Votre philosophie, on la reconnaît, par le charme, la rhétorique, même le génie et le talent, et cela ne rapporte que du vent, quand cela ne va pas à l'encontre de la vérité, et vous vous complaisez dans cette fange. La vérité ne se trouve pas par les mots et les concepts mais par l'expérimentation, la leur est sans valeur. La qualité de la personne est en jeu, pas le talent et le génie. Les philosophes qui définissent la qualité de la personne par le talent et le génie, se trompent.
Nous n'existons pas en tant qu'individu, c'est une réalité du dharma, cela ne veut pas dire que la personne n'existe pas, elle est responsable par ses actes, et par sa fausse croyance au soi qui fait souffrir, c'est ce que prouve les agrégats, et que nous n'existons pas en tant que réalité individuelle, il n'y aurait pas d'un côté ce qui ne serait pas du domaine de l'absolu et l'absolu, c'est une division purement fictive et qui n'a pas de réalité, car tout est lié et interdépendant, c'est le karma, rien n'existe indépendamment l'un de l'autre, nous n'avons pas de réalité individuelle, c'est l'anatta. La croyance aux mots et aux concepts fait mal penser et empêche de réaliser le dharma.
Ceux qui croient aux concepts du communisme et du libéralisme peuvent subir de graves conséquences, comme n'avoir rien, ce qui croit aux concept de l'être et du non être, éternaliste, le monde est permanent, notre être est permanent, il ne subit aucun changement, la réalité de notre impermanence est notre mort, ou nihiliste, la réalité c'est la destruction, notre fin c'est notre mort, les conséquences ne sont pas les mêmes mais bien plus grave. Un Bodhisattva peut croire qu'il n'existera qu'une existence, mais ne croira à aucun de ces concepts, parce qu' il ne s'attache pas à défendre des concepts en inventant ou philosophant. Bref il a la sagesse du Bodhisattva, ce que ne possède pas le philosophe.
Si vous vous mettez des formations mentales dans la tête et que vous y croyez, vous remettez en cause votre jugement, celui de ne pas y croire, seul la démonstration que vous pouvez faire et qui est irréfutable, parce que c'est une chose que vous avez compris, démontré, devrait être accepté, c'est la sagesse, c'est la sagesse du bodhisattva, celle de ne pas croire au reste, c'est aussi la sagesse, c'est même la principale, de ne pas croire aux concepts. Les Brahamanes philosophes créent des concepts réducteurs pour détruire la réalité du dharma, qui s'appuie sur l'illusion des concepts qui fait croire au mirage, au chimère d'une réalité humaine indépendante de toutes causes et conséquences, ainsi ils essayent d'inventer une réalité humaine hors de l'application de nos actes, dans notre ressentie, notre perception, notre corporalité, notre connaissance, nos formations mentales, nos agrégats. Mais cette réalité hors de nos actes est fausse, Il n'y aurait pas par exemple, d'un coté l'immanence et la transcendance, tout cela sont des concepts réducteurs qui invente une réalité imaginaire, fausse parce quand elle s'oppose à la vérité du dharma et invente une chimère d'une réalité humaine qui puisse être réduit à des concepts, car l'expérience des agrégats ne peut être dualisé, ni ramené à une entité individuelle. Croire en cela, c'est croire en des chimères. Pas plus qu'il existerait d'un côté le noumène et de l'autre le phénomène. Ils défendent des illusions mentales, inventent des concepts, des doctrines, qui n'ont d'autre réalité que les cornes d'un chameau qui sont une illusion qui ne démontrent rien sauf qu'ils en sont.

Non je (nibbana)



Alors vos dissertations, thèse, antithèse, synthèse, pourquoi un plan en deux ou trois parties, pas quatre ou plus ? Pourquoi opposer les choses ? Il existerait une synthèse ? Pourquoi faire des parties séparés ? Tous cela est purement artificiel, cette exercice inventé ne représente rien, personne n'écrit ou ne lit des livres de dissertations, par-contre ils nous ennuie avec.

Voir le point de vue de l'autre, par exemple il est nécessaire d'être égoïste pour vivre, alors que la vérité émotionnelle dit le contraire, et dire qu'il faut le comprendre et le partager est absurde, et en faire une synthèse encore plus. Ce n'est pas un pré-découpage, une opposition fictive qui apportera une vérité dans un exercice qui par définition invente des pré-jugements dans sa conception même, si le point de vue de l'autre est le suicide, tu n'inventes pas des arguments pour cela.

Ainsi le philosophe qui croit au concept se fait avoir par l'illusion des mots en leur donnant une réalité, alors qu'ils n'en ont aucune. La réalité est au-delà des mots. Le sens et la vérité ne sont pas individuels, alors qu'ils sont interprétés par des esprits individuels, les mots sont sujets au discrimination, alors que le sens et la vérité ne le sont pas. Ce qui n'empêche pas les mots d'exprimer la vérité, sinon il n'existerait pas d'enseignements, tant qu'il ne dévie pas du sens qu'ils expriment.

Par conséquent, ce n'est pas en essayant de définir le bonheur par l'approche rhétorique d'une dissertation, que vous saurez si cela existe, ni en définissant le langage que vous ne vous ne serez pas prisonnier de concept, c'est du bavardage intellectuel, distrayant pour l'esprit que l'on peut imaginer que certains y prennent plaisirs comme face au charme, à la logique, ou même au génie des mots et des phrases. Pendant que le philosophe s'occupe des préoccupations du corps et du plaisirs des sens, ou ne va pas au delà des affaires qui se passe dans le monde, il ne s'occupe pas de la préoccupation des sages.

Ainsi votre philosophie se sert d'une même phrase pour dire des choses différentes basé sur l'abstraction conceptuel comme logique d’appuie de vérité, comme si le raisonnement était la base de la réalité qui si trouvait, car elle-même échappant à toute détermination, car les mots ne peuvent exprimés la vérité de la connaissance, du ressenti, de la perception, des constructions mentales, de l'attirance à la forme. Au moyen de la sphère sensorielle, la vue, l’ouïe, l'odorat, le goût, le touché, le mental, ce que vous percevez, ressentez, connaissez, votre attirance à la matérialité, au corps, à la forme, vos constructions mentales, ne peuvent être vus comme une individualité, car c'est inconstant, car cela ne prend naissance nulle part, ni ne finit nulle part, c'est une illusion, vide de soi, vacuité.

C'est pour cela que les sots qui se complaisent dans les mots n'ont pas compris que les mots sont une création de l'esprit, et n'existent pas par eux-mêmes et ne peuvent décrire la réalité qui est sans individualité, ainsi il y a non perception, non ressenti, non connaissance, non attirance à la forme, non constructions mentales, non individualité de nous-même.

Rappel

Les concepts de la science, de la philosophie, de la politique vous empêchent de voir le vrai message de Bouddha, parce que vous croyez a des choses qui sont immuables, la vérité ne peut être réduit a des concepts, à ce que l'on ne peut pas discriminer, isoler l'un de l'autre, caractérisé, parce qu'étudier par des esprits individuels qui essayent de discriminer comme individualité une réalité qui ne l'est pas, c'est pour cela que l'on se trompe et que l'on ne distingue pas le message de Bouddha.

Véhicule

-Celui qui se considère que par les autres, qui ne voit que les autres, n'aime pas son image.
Jaloux
Titans
Déterminé à mener les choses à bien.
Laure Adler, Elisabeth Guigou, Vikash Dhorasso, Thierry Ardisson, Ségolène Royale, Brigitte Bardot, Michel Fugain, Benoit Hamon, Anaïs Bouton, Emmanuel Macron.
Formations mentales

Vois l'autre

-Celui qui se considère que par lui même, autre image de lui même, mauvaise image de soi. Narcissique
Humains
Conscience de l'identité de tous les êtres.
Les Bogdanovs, Fabrice Midal, Jean Claude Bourret, Didier Deschamps, Michel Platini, Fog, BHL, Nicolas Sarkozy, Christine Angot, Jean Marie Le Pen
Ressenti

Vois le pareil de l'autre

-Celui qui se considère autrement que par lui même, voit que lui même, image de soi destructrice.
Orgueil
Esprits avides
Amour de tous les êtres
Laurent Ruquier, Jean Pierre Petit, Nicolas Hulot, Nicolas Dupond Moretti, Patrick Balkany, Jimmy Hendrix, Charles Consigny, Nadine Morano
Perception

Vois les autres

-Celui qui se considère que lui même, différence image de lui même, fausse image de soi.
Colère, haine.
Démons
Acceptation tranquille du bon comme du mauvais
Etienne Klein, Jean Pierre Chevènement, Jean Luc Mélenchon, Eric Zemmour, Zinedine Zidane, Olivier Delamarche, Alain Finkielkraut
Corporalité

Vois l'identité de l'autre

-Celui qui se considère plus que lui même, surestimation de son image, adore l'image de soi. Ignorance
Dieux
Connaissance du Dharma
Laurent Joffrin, Jean Daniel, Donald Trump, Jean François Copé, Laurent Fabius, Eric Naulleau, Bernard Tapie, Carla Bruni, Philippe Béchade, Jean Claude Michéa
Connaissance

Vois l'autre pareil que lui même

Vacuité

Mu par les désirs, il y a attachement émotionnel suscité par les écoulements mentaux né de l'appropriation à un soi, à une corporalité. Puisque on a reconnu la vacuité des phénomènes, il ne faut pas créer d'attachement corporel, à la forme. Il faut prendre vœux de chasteté pour ne pas s'attacher à la jouissance, pour ne plus avoir, ni de l'effet de la jouissance, ni de l'effet de la souffrance, devenir un arahant.

Triste, Bouddha ne peut rien pour vous

Le karma n'a aucune morale, c'est vous qui la construisez, mais il en a bien une, nous sommes tous interdépendants, nous n'existons pas de manières individuelles, et donc, prince, ou roi, personne n'échappe aux conséquences de ses actes, le seul moyen d'y échapper est le nibbana, mais il ne faut pas avoir vendu son âme au Diable. La morale de Bouddha est bien une réalité sinon le karma n'existerait pas, quelle est la cause ? quelle est la conséquence ? cause et conséquence ne pouvant être séparer, on ne peut pas les distinguer, leur donner une nature individuelle, Bouddha préexiste à toute réalité. On ne peut pas donner de natures individuelles aux phénomènes.

Triste

La prétention de la philosophie de représenter toutes les opinions et de rien conclure, me sidère, c'est en aucune manière un quelconque rapport avec de la sagesse de faire ce genre de choses, c'est même une chose dont se moque, car ce sont des opinions au contraire du dharma, en effet ce n'est pas en discutant d'opinions que vous aurez la sagesse, car la sagesse n'en est pas une.

Inconception

Le processus de la réalité est compréhensible autre de comprendre qu'il ne peut être individualisé, donc ramené à un soi, car on ne peut pas interprété les choses qui sont non individuelles en croyant a des concepts qui individualisent, hors les maths crée des concepts et un chemin à partir de concepts. Vous n'êtes pas obligé d'y croire, mais si vous y croyez cela à la place du dharma, une réalité individuelle et permanente, vous commettez une grave faute.

Vacuité

Nous sommes dénués de substances intrinsèques, notre sphère sensorielle, est perçue, ressentie, connue, pensée, matérialisé, par l'appropriation à soi, elle né de la pensée du je, alors qu'il ne peut pas être appréhendé,  le je n'existe pas, il n'est qu'une illusion, vide de toutes pensées, connaissance, perception, ressenti, attirance au corps. Car croire au je c'est croire à la permanence, c'est croire a une idée fausse, une chimère, il n'existe aucune permanence, du ressenti, des perceptions, de la connaissance, des pensées, des formations mentales, de l'attirance à la forme, au corps. Car nous changeons, nous vieillissons, nous mourrons, telle est notre condition, par le contact, nous créons la sensation, la soif, l'attachement, en utilisant les six sphères sensorielles. Le but est de sans libéré en comprenant notre fonctionnement, et de réaliser le nibbana.

Sagesse philosophale

Il ne faut croire à ce qu'il y a écrit dans les livres, les pauvres vérités on ne risque pas dans trouver car ils en connaissent moins que toi, car si tu avais déjà trouvé par toi même, tu le saurai. Ce sont des menteurs, des affabulateurs, des mythomanes, avec des explications pour décrire ce qui n'apporte rien, et des solutions qui n'en sont aucunes, entouré de discours mondains, de solutions conceptuelles, d'idées sans lendemains, car avec un contenu abstrait sans réalité autre que chimérique, inventant une réalité permanente et individuelles qui n'existe pas. Ils ne comprennent pas la base, la sagesse cela ne s'explique pas, le reste est un discours de ne pas avoir compris cela. En essayant de définir par définition ce qui ne peut pas l'être, et en ne comprenant pas que cela est impossible et que cela ne sert à rien, d'autant plus qu'on s'en aperçoit parce que cela n'apporte rien. Des esprits individuels qui essayent de décrire une réalité non individuelles en créant des concepts, hors cela est une illusion de faire cela

Le dharma n'est pas amoral, il a une morale

Les professeurs prétendent connaître les bonnes motivations des gens, comme les philosophes prétendent connaître la sagesse. Mais le bouddhiste n'est pas une philosophie, il ne prétend pas suivre un comportement de vie d'après une morale, mais de respecter la vie de tous les êtres. Mais il ne va pas vous dire qu'il a une solution au fait de passer de l'insecticide, donc qu'il ne respecte pas certains préceptes qui sont anormaux et excluant de la sangha de Siddhârta, c'est lui qui était dans la pureté, pas le contraire, il ne peut rien contre l'absence de respects des êtres, il est là pour l'enseigner. La morale est un concept, elle n'existe pas vraiment, pas plus que le respect, mais l'interdépendance et l'absence de nature individuelle des êtres sont réels, et tous ce que l'on peut en conclure, d'une morale, d'un respect, mais il ne faut pas se méprendre sur les mots qui expriment les choses, mais ne sont pas les choses en tant que telles, voilà la vrai morale du philosophe, ne pas croire aux chimères des concepts et des conceptions, car c'est créer une illusion de l'esprit qui individualise les gens au mépris de valeurs comme l'amour et la compassion, voilà le vrai message de Siddhârta, pas d'ouvrir les portes ouvertes de vouloir faire le bien, le collectif prétendant être le dharma au détriment de l'individu comme en orient, ou l'absence de notion de liberté que cela implique est une déviation majeur de l'enseignement de Siddhârta, car ce n'est pas reconnaître la liberté d'un boddhisattva. En effet, il ne s'agit pas de faire la morale de mettre ou de ne pas mettre de l'insecticide. La morale du dharma n'existe pas, car la morale est dualiste et ne correspond pas à la vérité du dharma.

Sage

Ne plus être préoccupé par la pensée du moi crée le silence intérieur, et l'absence de fermentation mentale et d'écoulement mentaux, c'est le repos, le charbon chaud qui refroidit. Ce n'est pas la jouissance car il ne s'agit d'expérimenter le plaisirs des sens, mais l'absence de dérangement mental, parce qu'on n'est plus préoccupé par les désirs des sens et du mental, d'un je à travers l'expérimentation des phénomènes. C'est pour cela que c'est le contraire de la folie, notre mental n'est plus obsédé, parce que l'on n'est plus attaché aux phénomènes que nous expérimentons. Vous comprenez que le vœux de chasteté est nécessaire pour expérimenter l'éveil, car il ne s'agit pas de s'attacher aux plaisirs des sens et du mental, et à une corporalité, pour réaliser le nibbana.

Le silence intérieur est la méditation

Si le silence intérieur des sages cela existe, n'être plus préoccupées par les pensées qui se rattachent au moi, celle-ci ont disparu, elles n'ont même jamais existé, c'était une création de notre mental qui croyait à l'individualité alors qu'elle en est absente dans nos phénomènes de notre ressenti, connaissance, perception, attirance au corps, formations volitionnelles, mentales. En effet c'est la pensée du je qui crée la souffrance en individualisant, l'éveil est chargé de démontrer l'opposé et de réaliser l'inverse. C'est une réalisation, car il s'agit de réaliser notre absence de moi, anatta, dans la réalité des phénomènes que nous expérimentons, et notre absence de toute nature individuelle. Il faut admettre ce que l'on comprend, c'est cela la vérité du sage et qui doit être celle du philosophe.

La beauté des nuages

Suivre la voie du boddhisattva, ne plus croire en de concepts, nos élites intellectuels de droite ou de gauche, en seraient bien incapables, en effet cela ne demande aucune mondanité, seulement de la jugeote, du jugement. Donc cela dépend de la personne, ce qu'a voulu nier toute une ascendance de philosophes et Michéa. Car c'est une façon commode de n'accorder aucune autre responsabilité à ce qu'on a écrit, il ne s'agit pas de la démarche d'un boddhisattva ou de l'éveil, ne pas prendre en compte la vérité des actes d'une personne, le votre, pas celui du voisin. Ce n'est pas de la philosophie pour argent comptant, celle ci n'a aucune valeur autre que du bavardage intellectuel, vous en êtes dispensé. Celle-ci ne sert à rien en définitive. Il y a des choses pareils, comme la beauté des nuages, tant que cela ne s'oppose pas au dharma, cela ne dérange personne.

Trancher la pensée du soi

Le but est de bien comprendre comment la souffrance surgit, ce qui vous en éloigne, l'absence de pensée du soi quand nous nous approprions un objet, un corps, par le contact, la sensation, l'attachement. Il ne faut pas créer la soif, le désirs, par l'appropriation, en utilisant la sphère sensorielle et le mental, par le ressenti, le perçu, par le connaissance, par le psychisme ou par notre corporalité.

Psychisme

Vous croyez à l'argument d'autorité, cela veut dire que vous donnez mandat de votre liberté, tout en sachant, que ce n'est pas liberté de Bouddha, il vous conjure de juger ce qu'il enseigne par vous-même en expérimentant ce qu'il dit, c'est le mandat que vous avez, il n'y a personne d'autre, vous êtes responsable, par vos actes, en ressentant, percevant, connaissant, en s'attribuant une corporalité, en faisant acte de volition, de je, par l'agrégat du psychisme, ainsi la vérité appartient à tous le monde car elle est non individuelle, c'est la vérité qui prend conscience de l'autre qui est vous même, parce qu'elle donne l'interdépendance des choses et des êtres, par leurs absences de natures individuelles, par leurs absences d'appropriation du je. Car l'absence de jugement de soi dans votre psychisme, dans vos agrégats, provoquent la cessation de la souffrance, et la cessation des faux jugements. Il faut faire cesser l'appropriation du psychisme qui nait par le contact, la saisie, le mental, l'attachement au devenir, il faut faire cesser l'attachement au ressenti, à la connaissance, au perçu, à la corporalité, par la cessation du je induit par le mental, par la cessation de soi, la cessation de la souffrance, par l'anatta. La meilleur façon de cesser le contact, la sensation, la soif, l'attachement, est de pratiquer la voie du milieu. La chasteté est recommandé, et le fait tout arhat, car il ne prend plus contact, sensation, plaisir, à ce qui provoque la souffrance.

Mais par cessation des mentations sensorielles, du système mental , on entend, non pas la cessation de leurs fonctions perceptives, mais disparition des souillures causés par l'esprit par l'attachement et des conséquences que cela implique, disparition des mauvais raisonnements.

Spleen

Le spleen s'attache a des idées qui n'existent plus, qui n'existent pas, qui n'existeront pas. Car toutes idées qui s'attachent à un concept du moi fait souffrir, toute connaissance, tout ressenti, toute perception, toute corporalité, qui s'approprie un je, un moi, fait souffrir, par les cinq sens et le mental. Hors cela est vacuité, vide, impermanent, car s'attacher à des phénomènes transitoires fait souffrir. La jouissance est un phénomène transitoire, s'y attacher fait souffrir.

Méditer

Ne pas s'approprier un je, de son mental, de ses pensées, de ses formations mentales, créés par le ressenti, la perception, la corporalité, la connaissance, le mental. Laisser défiler les pensées, le mental comme un spectateur, jusqu'à la disparition, des pensées, des écoulements mentaux, des souffrances, des cinq sens et du mental, par dissolution des agrégats, par leurs vacuités, leurs absences de je, le nibbana, le parinibbana, notre absence de je, anatta, c'est cela à quoi sert méditer.

Les formation mentales agissent sur les quatre autres agrégats.

Appropriation

 On ne peut pas séparer le sujet de l'objet, on fait cela dans une démonstration scientifique, hors cela n'est pas possible, ni réalisable, nous n'avons aucune réalité individuelle, cela ne veut pas dire que nous n'existons pas en tant qu'individu, mais notre réalité individuelle n'existe pas, nous n'existons pas en tant qu'individu, car nous sommes interdépendant, relié au monde extérieur, auquel nous ne pouvons mettre aucune séparation, car vacuité. Ainsi nous n'existons pas en dehors de que nous percevons, ressentons, connaissons, de notre corporalité, de nos formations volitionnelles, mentales, tous cela sont des facteurs exogènes qui nous expérimentons par notre mental et nos cinq sens. De la même manière, par nature tout est changement, rien n'est figé, rien n'a de permanence, deux choses ne se répètent pas à l'identique, car la réalité est vide par essence, on ne peut lui donner aucune appropriation, on ne peut pas situer un dehors et un dedans, ce qui serait à nous et ce qui ne serait pas à nous, seul l'absence d'appropriation est réel, car tout est vacuité et impermanent, et donc le moyen de réaliser l'éveil. Alors, interdépendant de la réalité qui nous enceint, nous n'existons pas en dehors des autres et de la réalité, comme l'explique les cinq agrégats. Ainsi s'approprier des choses, des objets, l'individu, sont causes de souffrances, car nous n'avons pas reconnu cette réalité non individuelle.

Abstraction conceptuelle illusoire

  Michéa affirme que le fait d'être, érudits, poètes, écrivains, philosophes, intellectuels, ce que l'on étudie à l'école, cela a un rapport avec la morale, alors qu'il n'y a pas de lien. Ainsi, il établit même une hiérarchie et prétend nous l'imposer à nos esprits inférieurs, car sous cultivés, car ne comprenant pas un mot important dans un devoir de philo au Bac. Pour la personne qui oublie toujours la signification des mots imbéciles et stupides, de l'idiotie chimérique conceptuelle, comme noumène, c'est un bonheur de l'esprit, vous êtes le dîners de con. Ainsi avec des sujets dont on se torche le cul moralement, car pour n'avoir pour toute sagesse que celle d'un bidet conceptuel d'abstractions chimériques. Mais la morale ne dépend pas d'argumentaires, de rhétoriques, de bons mots, de belles phrases ou constructions, c'est notre rapport avec nos actes produits par les cinq sens et le mental. C'est l'expérimentation de la réalité des agrégats qui nous permet de le comprendre, c'est ce qui produit la souffrance, et les moyens que je vous donne de vous en débarrasser. Hors de s'attacher à des idées et des concepts qui sont que des illusions, car il nous éloigne de la morale en créant des conceptions qui sont des chimères qui n'existent pas dans la réalité de nos actes, crée des abstractions mentales conceptuelles illusoires.
 Noumène en est un, vous employez des concepts qui n'ont pas de réalité, comme altérité, et vous faites de la rhétorique dessus, il n'a rien d'extérieur à soi, l'autre est nous même. Alors que la réalité de l'identité de tous les êtres est une vérité, exprime une réalité, son antonyme, ce n'est pas le cas. Car discuter de cela par la rhétorique est une chimère qui nous éloigne de la vérité, et nous empêche de la découvrir. Que quelqu'un ne comprenne ce que je dis à propos du concept d'altérité, quelque part il n'a pas la foi et il n'est pas logique, il ne comprend que nos actes, notre karma, dépendent de la sphère sensorielle et mental et qu'essayer d'inventer autres choses en employant des mots et concepts comme noumène et altérité, sont sources de chimères et de fausses vues dans lesquels s'enferment les philosophes.

A propos de Houellebecq et des philosophes



A propos d'intervention 2020.

 La volonté de séparer les choses, de vouloir les conceptualiser est la volonté des gens soi-disant intelligent qui se veulent des idiots, c'est toute la philosophie. Ainsi l’intelligence ne peut pas existé sans bonté, on ne peut pas séparer les deux sinon cela s'appelle des mondanités, ce que Houellebecq ne comprend pas, qui est remplit de ces mêmes mondanités et qui la plupart du temps le font mal penser et souffrir. Ainsi dans la volonté d'être, de désirs, il y a un attachement aux choses, une appropriation, qui fait souffrir. La science est de ne pas de s'y attacher en créant des concepts qui sont une illusion, car on ne peut pas satisfaire un désir, ils sont changeants, impermanents, on ne peut pas les saisir, ils n'engendrent que des phénomènes illusoires, car sans temporalité, ils sont comme le sable qui coulent entre les mains. On ne peut pas fonder une philosophie sur un concept illusoire, comme le fait Houellebecq et les autres philosophes en définissant la volition, autre concept illusoire, leur volonté d'être, car admise, est un océan de souffrance chimérique. Ils créent une appropriation à soi-même qui fait souffrir. Siddhartha a rejeté toute appropriation à soi-même avec un bol et trois robes. Ce que nous ne pouvons plus faire, mais que nous devons comprendre. Il a compris avec les cinq agrégats, groupes, que c'était notre relation avec le monde extérieur, notre volition d'être à travers nos pensées, nos formations mentales, notre perception, notre ressenti, notre connaissance, notre attirance à la forme, au corps, et que tous cela engendre de la souffrance à travers les cinq sphères sensorielles et le mental. Dans le nirvana au contact du samsara, on a toujours des résidus de souffrances qui s’éteindront dans le parinirvana.

Pensée

 Les pensées qui sont crées par les formations mentales sont vides de soi, les pensées n'ont pas d'endroit ou elles naissent, ni d'endroit ou elles finissent, elles sont non sont nées, on ne peut les situer en soi, elles sont impermanentes et donc indéterminables; ni hors soi, on ne peut être extérieur à nos pensées. Elles sont vacuités et non pas de soi.

Il n'est pas de soi

 Les désirs provoquent l’aveuglement, la souffrance  naît de nos désirs qui s’expriment par nos 5 sens, et le mental . Le contact avec les six sphères sensorielles constituent les agrégats.

Par la modalité du ressenti, plaisant déplaisant ou neutre que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoque la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.
Par l’attachement au corps, à la forme que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoque la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.
Par les perceptions que nous avons que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoquent la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.
Par les formations volitionnelles, actes psychiques née de notre inconscient que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoquent la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi.
Par le savoir, la connaissance que nous avons aux contacts de ce que nous avons pour objet provoque la soif et l’attachement et donc la souffrance.
Il n'est pas de soi

Phénomènes

 En voyant un vieillard, il s'attribut un corps vieillissant, en écoutant de la musique, il ressent du plaisirs, ce flash de lumière l'a éblouie, il a mal aux yeux, en réfléchissant il se rend compte qu'il ne s'en souvient plus, en regardant sa photo, il a pensé qu'elle était belle, tous ces phénomènes sont impermanents, en leur donnant un soi, une individualité, on en souffre. Ces phénomènes sont vacuités, changeant, vieillissant, meure, ils n'ont pas d'attribution, anatta, non soi

Donner un soi

 Donner un soi aux phénomènes d'attributions corporelles, donner un soi aux phénomènes du ressenti, plaisants, déplaisants ou neutres, donner un soi aux phénomènes de la perception, bénéfiques, mauvais ou indéterminés, donner un soi aux phénomènes de la connaissance, de savoir ou ne pas savoir, donner un soi aux phénomènes conceptualisés dans les formations volitionnelles, les formations mentales, sont causes de souffrance. Car tout est anatta, non soi, vacuité.

A Spinoza et à tous les philosophes

 Mais, oui, vous êtes des ignorants ! Les sages ne sont plus submergés par les passions ou la haine, mais à quoi cela sert de discuter de concepts en faisant des phrases, ce n'est pas la sagesse ! Une philosophie du soi est une chimère, ces doctrines inventent des mots, des concepts, pour défendre des volitions d'être, en effet les phénomènes sont interdépendants, on ne peut pas les isoler, leur donner une attribution, une détermination car ils ne sont que vacuité, il n'y a pas de phénomènes intérieurs ou extérieurs à soi, on ne peut déterminer un bonheur, une béatitude en créant des concepts, car cela est vide de toute attribution, discuter ainsi ne mène qu'à l'affliction, car elle contribue a renforcer la volition d'être facteur de souffrance, car c'est s'attacher à que ce qui est vide par essence auquel on ne peut pas donner un soi.  On ne peut pas donner un soi au bonheur ou à la béatitude, c'est l'agrégat du ressenti. On ne peut pas donner un soi aux phénomènes.

Ignorance

L'ignorance est la cause de la souffrance, l'ignorance est de croire à l'existence d'un moi, hors cela est contraire à la vérité que tout les phénomènes sont interdépendants. La douleur, la lamentation, le chagrin, tristesse, désespoir, naissent de cette appropriation à un soi, hors tout est vides d'existence propre, c'est la vacuité. Cette appropriation à un soi est ce qui provoque un égo qui est cause de souffrance, l'attachement à un devenir, à une jouissance qui sont que des facteurs transitoires car tout est impermanent, est donc vide d'existence propre. Cette ignorance est cause de formation mentales qui naissent avec la conscience des cinq sens et du mental, ils créent des phénomènes physiques et mentaux, qui créent un désirs un attachement, un devenir. Hors tout est vacuité, le soi n'existe pas, prétendre le contraire c'est créer un attachement un désir qui créait de la souffrance à un moment ou un autre. Cette appropriation à un soi crée un devenir, naissance, vieillesse mort et renaissance. l'être éveillé n'a plus de flux de penser crée par un ego, par l'ignorance qui croit à l'existence d'un soi. Il n'a plus de devenir donc de renaissance. Il est dans le nibbana, il est comme une pièce chauffé à blanc qui refroidit instantanément par ce qu'il n'a plus de désirs crées par un moi.

Verbe

 Donc ce qui les intéresse c'est les maths et l'orthographe et la grammaire, ainsi que la philosophie descriptive en inventant des concepts qui soutiennent des conceptions et des formations volitionnelles. Car ils inventent une rhétorique et un discours, créent des dualités, des chimères fictives d'une réalité qu'il n'est pas possible de s’approprier, pas possible de séparer, parce que soumis au changement, et à l'obsolescence. Ainsi Ils imaginent des concepts, inventent une individualité qui non existante, car on ne peut pas mettre un soi à ce qui impermanent et interdépendant, donc ils isolent leur pensées dans de fausses conceptions. En effet ils créent des formations volitionnelles, des concepts, des entités fictives auxquelles ils croient, auxquels il discourt et apportent des jugements, ils s'enferment ainsi dans les mauvais discours et les fausses vues.

Impermanence de l'univers

 Les causes et les effets étant impermanents, le résultat est chaotique et entropique (cela vient du fait que le hasard n'existe pas), déterministe, sans attribution, sans soi. En effet, on ne peut séparer les causes et les effets, tout est interdépendant, car changeant, dénué de soi. Il n'y a pas ni début, ni fin, ni cause première, l'effet peut se produire dans le passé comme la cause peut provenir de l'avenir. En effet ni le présent, ni le passé, ni le futur n'existent, le temps est un ensemble vide.

Philosophie

 Une phrase toute faite, analysé à partir de concepts auxquels on fait dire tous ce qu'on veut, du bavardage, des chimères conceptuels, l'attachement à des raisonnements et des concepts dans le but de discourir, peut importe que cela soient des chimères, le but est qu'il y est tout un logos et des raisonnements, une logique, faisant abstraction à la fois du contenu et de la personne, penser sans que cela ne soit applicable, et croire en même temps à des concepts qui n'existent pas, et tout un raisonnement qui fait mal penser. Une sagesse cela s'applique, sinon c'est un discours vide, du bavardage stupide. Cela se veut même une science, il y a des notions à aborder, c'est ridicule.


Time


Il est possible de modifier le passé, parce qu'il est déjà contenu par le présent, c'est pour cela que le temps est un ensemble vide. Ainsi il n'y a pas de présent, seul un passé et un futur qui sont relié, qui sont eux-mêmes vides, la réalité est entropique et déterministe. Le continuum temporel n'existe pas, il n'a ni début ni fin, il est vide et ne peut être brisé, cela veut dire qu'il n'y a pas d'origines, et que cette origine d'où qu'elle provienne ne peut d'être distingué du passé, du présent ou du futur. Ainsi tout est interdépendant, donc en modifiant le passé, on ne crée pas un nouveau futur, car tous les états sont superposés. C'est pour cela que deux particules sont relié entre elle quelque soit la distance, en modifiant l'une vous modifiez l'autre, loi de la physique quantique.


Cause

 Il n'y a pas de cause première, le passé et le futur sont toujours présent, on peut voyager dans le temps, il n'y aura pas de rupture causal, tous cela forme un même continuum. On est toujours le début d'une cause, mais il n'y a pas de cause de départ.

Chaos

 Oui Bouddha est de la physique quantique, déterministe et chaotique. Compréhensible dans une certaine mesure, inexplicable aussi. C'est tout simplement la réalité scientifique telle que je vous l'expose.

Dharma

 Dieu, Bouddha, sont dans le nibbana scientifique, des vœux de bodhisattva. Il n'existe pas d'autre Dieu ou Bouddha. Le reste est supercherie.

En effet

 Il n'y a que du travail et de la réflexion, me suis je bien fait comprendre, il n'y a que cela qui compte.

Simple

 L'expérimentation des cinq groupes dans la méditation n'est pas une invention. Mais la base du travail.

Hinaya

 La discipline de l'enseignement du hinaya prouve que c'est la voie accessible à tout le monde. C'est là ou l'on voit si les gens sont sérieux ou pas.

Le principe à Macron



Il parait que je vais être reçu au siècle, en compagnie de David Pujadas et Nicole Notat, les oligarques me présenteront au maître états uniens du monde libre, ils me parleront du grand marché libérale, de la mondialisation, de son bienfait qui a sorti tant de gens de la pauvreté à travers le monde, Alain Minc sera là pour approuver ce fait, c'est un principe de réalité, c'est à cela qu'on obéit.
"Si vous voulez comprendre ce qu'est le principe de réalité, il faut regarder BFM Business et Marc Fiorentino, ce n'est rien comprendre au grand marché libérale et à la mondialisation, c'est pour cela qu'il faut défendre le grand marché européen."
"Il faut comprendre que maintenant, on n'a plus d'argent, il va falloir se serrer la ceinture, la France est en faillite, elle ne représente plus rien, maintenant c'est l'Europe, les Français vivent au dessus de leur moyen, c'est pour cela que la politique libérale en France est nécessaire, il faut plus de flexibilité pour être concurrentiel dans le grand marché mondiale, les Français devrait se réjouir que leurs élites pensent à leur avenir."
"Et puis sincèrement, il suffit de traverser la rue pour trouver du travail. Nos députés devraient être payer 10000 euros par mois, c'est comme cela que l'on a une démocratie saine, sinon les meilleurs partent dans le privée, c'est regrettable parce que c'est de l'antiparlementarisme"
 "Et de plus, honnêtement plus on devient riche, plus vous en subissez les bienfaits, c'est la théorie du verre qui ruisselle, c'est le principe fondateur du libéralisme, démontrés et prouvés par ce qui font la richesse de nos économies occidentales"
C'est ainsi que je parti rassuré par l'honnête homme.

Discipline

Cela demande de la discipline de méditer, mais si vous suivez les origines de la souffrance et vous les comprenez alors vous obtiendrez une bonne méditation en créant aucune attache, en rejetant toute appropriation. Vous obtiendrez le calme et le détachement émotionnel.

Croyance

 Il vaut mieux croire en rien, parce ce qui croient, ils sont la plupart dans l'erreur. Je suis celui qui ne croit pas au concept, car des phénomènes interdépendants et transitoire qui ne peuvent être vu de façon individuelles, des mots qui représente des concepts qui sont inexistant car vu par des esprits individuels, appliqués à des agrégats qui ne peuvent être individualisés. Je ne m'attache pas aux phénomènes transitoires de la jouissance comme de la souffrance car sans individualités.

Vérité

 Nos bons philosophes peuvent faire de beaux discours, ils ignorent les principes de la sagesse que sont l'octuple sentier. On reprend à son compte le dharma en l'appliquant, pour cela il faudrait l'avoir compris, en cela ils ignorent, et m'ignorent. Faire confiance à une parole juste, ne pas croire parce qu'une personne est célèbre ou a du génie, du charme ou du talent, elle a une parole juste, cela ne doit pas dépendre des capacités mondaines de la personne. Il n'y a même aucun rapport, sinon une occasion de plus de se perdre. Que faire quand ils ignorent tous du dharma et de la sagesse que cela induit, leur parole est sans valeur, ils ne font que bavasser, leur philosophie sans but, qui pose des questions mais n'apporte jamais aucune réponse, pour cela il faudrait qu'il y ait de la sagesse, de la parole juste. Il faut que je dise à tous les merdias et à ce qu'ils invitent, qu'ils sont tous des imposteurs, ils n'ont pas plus la qualité du dharma qu'une personne prit au hasard dans la foule

Connaissable

 Il n'existe pas d’endogène ou d’exogène, tout est relié, donc cela ne sert à rien de trouver d'autre preuve que ce que l'on est, et chercher des preuve autre que notre absence de soi car l'origine de la souffrance est l'attraction des désirs, ainsi créer un dieu hors de toute perception en développant des idées de réalité inconnaissable comme noumène. Tous cela sont des concepts qui nous éloigne du dharma, car seul l'étendu du dharma est inconnaissable qui est la réalité mais ce qui le fait agir sont des vœux de Bodhisattva.

Mara

 Le Diable, Mara, c'est le sexe, le pouvoir, l'argent, les mondanités, mais pas l'intelligence car celle ci dépend de la sagesse, dont nous avons vu est de ne pas croire en des concepts et dépend du tout, tel que l'a décrit Siddhartha avec les cinq agrégats. Siddhartha l'a expliqué bien avant moi.

Non conceptuel

Ils créent des théories et des concepts, le rôle de Bouddha est de les détruire, car la réalité est non conceptuelle, il n'y a pas de chemin, pas de voie, pas de choses reproductibles, seul notre identité d'éveillé est permanente, reproductible, car les choses sont par définitions changeantes, auxquels on ne peut appliquer un moi, une individualité. Deux choses de même manière ne se reproduisent pas ou alors c'est de croire que l'univers est permanent, constant, mais comme on l'a vu il ne l'ait pas.

Vacuité

On ne retient que le concret, ce qui se rapporte à quelque chose à soi-même, ou que l'on juge qu'il en est ainsi, c'est pour vous dire que je n'ai rien retenu des cours de philosophie.



Bon sens

 La sagesse vous est exposé, à savoir si vous comptez la suivre, ce n'est pas une opinion dans une dissertation, un exposé, de rhétorique, du charme, du génie, seulement du bon sens

Ce qu'ils n'ont pas compris

 Par la vue et l'agrégat de corporalité en voyant une fille nue, je bande, c'est pourtant simple à comprendre, lol.

Autre vérité

 Rien n'est entièrement vrai, rien n'est entièrement faux, si vous aviez la sagesse de comprendre cela. Dés que l'on commence à mettre des définitions, des concepts aux choses qui ne sont que vacuité auquel on définit une fausse attribution, on crée des conceptions et chimères auquel on croit. Le philosophe se réfugie dans la logique des conceptions, ignorant d'une réalité qui est non attribuable; faire soi une réalité qui n'a aucune attribution, c'est souffrir.

Enfin

 Ce n'est pas parce que vous savez discourir dans une dissertation en citant des auteurs connus que vous avez la sagesse, il n'y a pas de guides, pas de voies, tel est l'amour de la sagesse. Donc il n'a pas besoin de préceptes, cela ne veut pas dire que les vœux que vous prenez ne sont pas valables, mais que l'on ne peut pas conceptualisé les choses.

Déterminisme et chaos

 Tout est déterminste parce que l'on sait trés bien ce que l'on va faire, c'est courru d'avance, et le karma le sait. Tout n'en est pas moins chaotique, régit par le hasard.

Imbécile depuis les grecs et cela continue

 Quand Platon ni que l'on ne peut pas atteindre la connaissance par le monde sensible, quelle erreur de jugement fondamental, c'est nier la vérité des agrégats qui permettent d'atteindre la connaissance de la sagesse, encore un imbécile qui philosophale dans le vide, c'est toute la vérité historique de leur amour de la sagesse. Il s'attache à des concepts monde sensible et monde intelligible, et invente une dualité qui n'existe pas comme tout ces philosophes. Aucun grec n'aurait pu réaliser l'éveil attachés à leurs concepts qui n'existent pas. Leur philosophie n'a aucune valeur expérimentale, c'est juste des digréssions stupides. Et on apprend toutes ces conneries à l'école, pour vous dire qu'on a une selection d'imbéciles de Michéa à Brighelli. Une philosophie sans réalité expérimentale n'est qu'un langage creux sans valeur.

Folie scientiste

 Donc d'un coté il y aurait les croyances et de l'autre la science, la raison représenté pas la science, et les croyances au rend de superstition, vous vous rendez de ce mensonge que propagent tout nos intellectuels en se référant au siècle des lumières, c'est nier la réalité du savoir de Siddhartha qui est du domaine de la raison et pas des croyances, c'est du négationisme, ce dualisme qui est faux nous éloigne de la raison, mon dharma est scientifique, il ne s'agit de croyance mais de raison qui peut être démontré par la personne, tout ce que la science ne peut pas démontrer ne sont pas des croyances mais appartiennent au camp de la raison, comme les chakras, canaux subtils, kundalini..vous niez des vérités ancestrales par dogmatisme scientifique, vous êtes des idiots et des fous, car vous êtes cinglé attaché à votre scientisme qui ni des vérités, et impose en contreparti des mensonges qui mènent directement à la folie, car niant des vérités parce que la science n'a pas la capacité à le démontrer au contraire de la personne qui peut réaliser l'éveil.

Platon l'ignorant

 On ne peut pas séparer les choses en deux, elles ne sont pas deux mais une, ainsi tout les agrégats se confondent, les philosophes comme Platon essaye de séparer les choses en deux en cela ils se trompent, les choses ne peuvent pas être conceptualisé en une individualité, tout est non-soi. Tout les philosophes se trompent en faisant cela, ils sont ignorants et non pas la sagesse, ce ne sont pas des sages.

Alors, Mahâmati dit au Béni du Ciel : «Pourquoi est-ce que les ignorants s'adonnent à la discrimination et pas les sages?» Le Béni du Ciel répliqua : «C'est parce que les ignorants s'attachent aux noms, aux signes et aux idées; comme leur esprit se meut au long de ces canaux, il se nourrissent d'un multiplicité d'objets et tombent dans la notion d'âme dotée d'un soi et dans ce qui lui appartient; ils discriminent entre le bien et le mal parmi les apparences et s'attachent à ce qui est agréable. Comme ils s'attachent ainsi, il se produit une réversion de l'ignorance, et le karma issu de l'avidité, de la colère et de la folie s'accumule. Comme l'accumulation du karma se poursuit, ils sont emprisonnés dans un cocon de discrimination et sont en conséquence incapables de se libérer du cycle de la naissance et de la mort.

  L'assertion de vues philosophiques à propos des éléments qui constituent la personnalité et son monde environnant qui sont non-soi, suppose l'existence d'un soi, d'un être, d'une âme, d'un être vivant, d'un "nourrisseur" ou d'un esprit. Ceci est un exemple de vues philosophiques qui ne sont pas vraies. C'est cette combinaison de la discrimination des marques imaginaires de l'individualité, de leur regroupement, et de leur avoir donné un nom et de s'y être attachés comme à des objets, en raison de l'énergie de l'habitude qui s'est accumulée depuis des temps immémoriaux, qu'on se construit des vues erronées dont la seule base consiste en des imaginations fausses. C'est pour cette raison que les Bodhisattvas devraient éviter toute discussion à propos des assertions et des négations fondées uniquement sur les mots et la logique. NDLR (donc de disserter dans des dissertations)

Lankavatara sutra

Pays des cloches

 Bouddha au pays des cloches, ils se servent de leur culture de philosophes rances pour nier la vérité, les mythomanes ont encore de beau jours devant eux, les cloches installés ce n'est pas ce qui manque. De Brighelli à michéa. Tout notre "élite" de philosophie intellectuel sont fait de cloches installés, il faut savoir ce qu'ils ont étudié, la philosophie des concepts, du dualisme, de l'être et du non être, 

"C'est comme les malvoyants qui entrevoyant un filet à cheveux s'exclament l'un à l'autre : «Quelle merveille! Regardez, honorables Seigneurs, quelle merveille!» Mais le filet à cheveux n'a jamais existé ; en fait, il n'est ni une entité, ni une non-entité, car il a été autant vu que non-vu. De la même manière, ceux dont les esprits sont attachés aux discriminations des vues erronées chéries par les philosophes qui s'adonnent aux vues réalistes de l'être et du non-être, contrediront le bon Dharma et finiront par se détruire eux-mêmes et d'autres avec eux." Lankavatara Sutra.

tout un fratras d'annerie de Platon à Kant, ce sont des sots et des ignorants négationismes de la vérité qui est au delà des concepts, car la vérité ne peut être rapportée à une individualité, la vérité est non soi, anatta, ainsi ils construisent par la rhétorique des constructions chimériques dans leur devoir de philosophie, qui ont autant de réalité que les cornes d'un chameau, ce sont des sots.

Impermanence de l'univers

 Les causes et les effets étant impermanents, le résultat est chaotique et entropique (cela vient du fait que le hasard n'existe pas), déterministe, sans attribution, sans soi. En effet, on ne peut séparer les causes et les effets, tout est interdépendant, car changeant, dénué de soi. Il n'y a pas ni début, ni fin, ni cause première, l'effet peut se produire dans le passé comme la cause peut provenir de l'avenir. En effet ni le présent, ni le passé, ni le futur n'existent, le temps est un ensemble vide.

Philosophie

 Une phrase toute faite, analysé à partir de concepts auxquels on fait dire tous ce qu'on veut, du bavardage, des chimères conceptuels, l'attachement à des raisonnements et des concepts dans le but de discourir, peut importe que cela soient des chimères, le but est qu'il y est tout un logos et des raisonnements, une logique, faisant abstraction à la fois du contenu et de la personne, penser sans que cela ne soit applicable, et croire en même temps à des concepts qui n'existent pas, et tout un raisonnement qui fait mal penser. Une sagesse cela s'applique, sinon c'est un discours vide, du bavardage stupide. Cela se veut même une science, il y a des notions à aborder, c'est ridicule.

Résultat

 Au nom de la culture vous faite d'un tibétain un Bouddha, un intellectuel un sage, mais tout cela est factice. A moins d'être totalement inculte comme un footballeur, cela ne porte pas à conséquence. C'est comme le QI, à moins que vous ayez 60, cela n'a aucune importance, Bouddha s'adresse à tout le monde.

Impossibilité logique

 Il y a une équation que vous ne résoudrez pas, c'est le fantasme de la science qui prétend tout expliquer alors que c'est logiquement impossible. A un moment vous ne trouverez que des réponses fausses, ce qui sera la fin de toute explication, à cause du niveau de complexité de la réalité. La réalité est ainsi au delà de toute compréhension, ni personne, ni la science ni pourront rien. Nous n'existons pas en dehors de ce qui nous entoure, nous n'existons pas de manière indépendante, un ordinateur ou un raisonnement qui essaye d'exister par lui-même n'existe pas. Un ordinateur ne peut être une créature vivante.

Secte

 Il ne s'agit pas de conscience, ni connaissance discriminante, on ne sait pas ce que cela veut dire, ni à quoi cela se rapporte, mais d'un terme bien identifié connaissance. Il faut revenir au sens original et pas à une fausse interprétation des enseignements comme aujourd'hui. Ils mêlent les enseignements de Siddhartha à leurs mensonges, du zen au théravada, au bouddhisme tibétain. Et donc Wikipédia en employant les termes connaissance discriminante, conscience, à la place de connaissance, raconte des conneries. Il n'y a que du mensonge, ce sont des sectes.

Coproduction conditionnée

L'aveuglement, l'ignorance (s. avidyā, p. avijjā) ; ne pas connaître le dharma
Les créations (formations, constructions) mentales (s. samskāra, p. sankhāra) ; Toute les formations mentales que l'on se construit, qui nous font croire a des concepts alors que la réalité de nos formations mentales de notre mentale est vacuité, vide, est une illusion car n'ayant pas de réalité individuelle.
La connaissance (s. vijñāna, p. vinnāna) ; le savoir
Le nom et la forme (s., p. nāma-rūpa); agrégats immatériels; sensation, perception, connaissance, formation mentale et matériel (le corps)
Les six « sphères » sensorielles (s. sadāyatana, p. salāyatana) ;
Le contact (s. sparśa, p. phassa) ;
La sensation (s., p. vedanā) ;
La soif (s. tṛṣna, p. tanhā);
L'attachement, l'appropriation (s., p. upādāna). s'approprier un soi qui est cause de la souffrance, la réalité est anatta, non soi.
Le devenir (s., p. bhava).
La naissance (s., p. jāti) désignant le processus depuis la conception
La vieillesse et la mort (s., p. jarā-maraṇa) désignant l'existence de la naissance à la mort

Karma

 Vouloir attribuer à ce qui n'est pas attribuable, car vide de mien. Ainsi la réalité est vide de mien, aucune entités, corpuscules n'existent de manière isolés et individuels, nous n'existons pas de manière individuelle car on ne peut pas nous dissocier cette réalité. Cela crée un karma, par l'action, par nos actes, car cela existe parce que l'on s’attribue un je. Ainsi le nirvana fait cesser le je et ainsi le devenir, la renaissance



Agrégats

 Les formations mentales agissent sur les quatre autres agrégats, le concept d'un je qui fait souffrir, la volition d'un je qui s'attache au ressenti, à la perception, à la corporalité, à la connaissance, en utilisant la sphère sensorielle et mentale. Comprendre que l'on ne peut dualisé les agrégats, les ramener à une entité individuelle, parce qu'ils ne sont que vacuité, vide de je.



Le mensonge Michéa

 Michéa pense savoir ce qu'est la droiture, c'est pour cela qui l'enseigne la sagesse, quel mensonge. Le rôle de l'école n'étant pas d’enseigner la morale, il faudrait d'abord l'appliquer à soi-même, ce que ni Michéa, il ni toute implication morale comme par exemple prendre des vœux, hors c'est indispensable pour comprendre le dharma, c'est une morale hors sol que l'on n’applique pas à soi même qui n'a aucune valeur.

Entrave

  Et quelles sont les cinq entraves spirituelles inférieures? La croyance en l'existence du soi, le doute, la croyance en la suprématie des rites & préceptes, le désir sensuel, et la malveillance. Voici quelles sont ces cinq entraves spirituelles inférieures.

Et quelles sont les cinq entraves spirituelles supérieures? L'avidité envers la Forme, l'avidité envers le sans-Forme, l'identification au soi, l'agitation mentale et l'ignorance. Voici quelles sont ces cinq entraves spirituelles supérieures.

Voici, bhikkhous, quelles sont ces cinq entraves spirituelles.

Bonheur

 On ne peut rien dissocier de rien, c'est pour cela que nous n'existons en tant qu'individu, cela veut dire que l'on n'a plus de karma provenant de la croyance au moi, plus de souffrance lié, plus de la folie qui est lié, notre conscience est toujours là, mais elle ne discrimine plus, ce qui cesse ce sont les remugles de l'esprit et les écoulements mentaux, on a une conscience supérieur vu la disparition des états mentaux désavantageux, la disparition du mal lié au désirs et à l'appropriation fait cessé le karma, la souffrance, les angoisses, le chagrin, le vrai bonheur apparait.

 Le verbiage des philosophes


Les Brahamanes philosophes créent des concepts réducteurs pour détruire la réalité du dharma, qui s'appuie sur l'illusion des concepts qui fait croire au mirage, au chimère d'une réalité humaine indépendante de toutes causes et conséquences, ainsi ils essayent d'inventer une réalité humaine hors de l'application de nos actes, dans notre ressentie, notre perception, notre corporalité, notre connaissance, nos formations mentales, nos agrégats. Mais cette réalité hors de nos actes est fausse, Il n'y aurait pas par exemple, d'un coté l'immanence et la transcendance, tout cela sont des concepts réducteurs qui invente une réalité imaginaire, fausse parce quand elle s'oppose à la vérité du dharma et invente une chimère d'une réalité humaine qui puisse être réduit à des concepts, car l'expérience des agrégats ne peut être dualisé, ni ramené à une entité individuelle. Croire en cela, c'est croire en des chimères. Pas plus qu'il existerait d'un coté le noumène et de l'autre le phénomène. Ils défendent des illusions mentales, inventent des concepts, des doctrines, qui n'ont d'autre réalité que les cornes d'un chameau.

Vendeur

 Siddhartha avait quelques centaines de disciple, tout cela est très limité, les vendeurs d'illusions ont quelques beaux jours devant eux.

Vérité qu'ignore les sectes bouddhistes

 Un bouddhisme sans expérimentation, comme une science sans expérimentation, cela n'existe pas. Sogyal la vérité c'était le cul, assez simple.

FIN

 Les enseignements de Bouddha sont difficiles, ils préfèrent les enseignements qui enfoncent des portes ouvertes, qui n'apportent rien, pour tout public, de la philosophie même, que le véritable enseignement du Bouddha.





Ni début, ni fin

 Je suis Bouddha, je peux vous dire qu'il n'y a personne, à part une parèdre comme la déesse Tara. Mais personne n'appuie sur un...